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Extraits de gosho sur |
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bienveillance |
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Il y a ceux
qui écrivent le nom des sept
esprits gardiens et les affichent sur mille portes, ceux qui peignent
des représentations des cinq puissants bodhisattvas (note) et les accrochent au-dessus de dix mille seuils, et ceux qui adressent
des prières aux divinités du Ciel et de la terre dans des cérémonies conduites aux
quatre coins de la capitale (note) et aux quatre frontières du pays ; d'autres encore,
que le sort cruel enduré par les hommes ordinaires emplit de
pitié, s'assurent que les autorités, nationales et locales,
gouvernent de manière bienveillante. "Les êtres vivants gigantesques" qu'abrite
l'océan sont les bouddhas et les bodhisattvas, comparés
à "des êtres gigantesques" parce que leur sagesse
est grande. Grande stature, grand esprit de recherche, grands traits
caractéristiques, grande maîtrise des pouvoirs
mystiques, grande compassion pour libérer du mal et grande bienveillance pour donner la joie, c'est au Sutra du Lotus qu'ils doivent tout cela. L'ignorant : Il a établi
des péages sur sept routes principales (note),
prélevé une taxe sur quiconque passait par là, et
s'est servi de cet argent pour faire construire des ponts au-dessus de
plusieurs rivières. Des actions aussi bienveillantes font de lui
l'égal du Bouddha, et ses bonnes actions surpassent celles des sages du passé. Si vous voulez
rapidement vous libérer des souffrances de la vie
et de la mort, vous devriez observer les cinq
préceptes et les deux
cent cinquante préceptes. Cultivez votre bienveillance à
l'égard des autres, interdisez-vous de tuer tout être vivant,
et, comme l'éminent moine Ryokan, entreprenez la construction de
routes et de ponts. C'est le plus élevé de tous les enseignements.
Etes-vous prêt à y adhérer ? [...] Vous dites que même ceux qui ont commis les cinq
forfaits et les dix actions
mauvaises ne sont pas exclus du voeu bienveillant du Bouddha. Puis-je
vous demander en quoi consistent les cinq
forfaits et les dix actions mauvaises ? Il en résulta
que Tensho Daijin*, Hachiman,
et les esprits des sept sanctuaires du Sanno, qui gardent et protègent
le Mont Hiei, ainsi que les diverses
autres divinités bienveillantes qui protègent l'ensemble du pays, ne purent plus goûter
la saveur du Dharma. Leur pouvoir
et leur éclat pâlirent, et ils abandonnèrent le
pays. Ainsi, les esprits maléfiques purent y pénétrer
et provoquer désastres et fléaux. Comme je l'ai indiqué
dans le Rissho Ankoku Ron, de tels désastres étaient
des présages annonçant que notre pays serait finalement
détruit par une nation étrangère. Le bouddha Amida et les divers autres bouddhas ont fait le voeu de bienveillance.
Pour cette raison et peut-être avec une certaine honte (note) ils ont fait leur apparition
en ce monde Saha, le bouddha Amida proclamant ses quarante-huit voeux et le bouddha Yakushi*,
ses douze grands voeux. Avalokitesvara (Kanzeon), ainsi que d'autres bodhisattvas venus d'autres terres ont
fait de même. Pour le présent, les confucianistes
affirment que, dans ce monde, il faut suivre les principes de bienveillance et de droiture (note) pour assurer ainsi sa propre sécurité aussi bien que la
paix et l'ordre dans l'Etat. Selon eux, ceux qui s'écartent de
ces principes verront la disparition de leur famille et la ruine de leur
maison. Lorsque
j'observe la situation du Japon, je constate que le Roi-Démon
du sixième Ciel a pénétré le corps des
personnes de sagesse, transformant les maîtres de l'enseignement
correct en maîtres des enseignements erronés, les maîtres
bienveillants en maîtres malveillants. Tel est le sens des mots
du Sutra : "Des démons maléfiques s'empareront des
autres."(réf.) Il est dit dans le chapitre Shinge* (IV) : "L'Honoré du monde dans sa grande bienveillance fait usage
d'une chose rare, avec bonté et compassion, il enseigne et convertit,
nous permettant d'obtenir des bienfaits. Même pendant d'incalculables
millions de kalpa, qui pourrait s'acquitter
un jour de sa dette envers lui ? Supposez que ce bodhisattva écoute et accepte
le Sutra. S'il en récite ne serait-ce qu'une phrase
ou une stance, s'il n'en lit même que quelques lignes, ou s'il
l'enseigne une, deux, dix, cent, mille, dix mille ou d'innombrables
fois, même s'il n'est pas encore capable d'en comprendre pleinement
la justesse, il sera déjà révéré
par les moines et les nonnes, les croyants laïques hommes et femmes
et les Huit groupes d'êtres
non humains ; les grands bodhisattvas l'accompagneront, il sera constamment
protégé par tous les bouddhas et bénéficiera
de leur bienveillance illimitée. Le pratiquant né à l'époque des Derniers
jours du Dharma qui propage le Sutra du Lotus rencontrera les trois
grands ennemis, qui provoqueront son exil et même sa condamnation
à mort. Pourtant, le Bouddha Shakyamuni couvrira du manteau de
sa bienveillance ceux qui persévéreront dans la propagation.
Toutes les divinités leur feront des offrandes,
les épauleront et les porteront sur leur dos. Le Grand-maître* Guanding* écrivit : "Ceux qui détruisent le Dharma bouddhique
ou l'obscurcissent sont des ennemis de ce Dharma. Se prétendre
l'ami d'une personne sans avoir la bienveillance de la corriger, c'est,
en réalité, être son ennemi."(réf.) On dit que la Divinité
qui illumine le ciel, découvrant le Japon, s'installa d'abord
en ce lieu. Son sanctuaire se trouve à Awa.
Elle est le parent bienveillant de tout le pays. Aussi cette terre
doit-elle avoir une signification profonde. Quelle destinée
valut à Nichiren de naître en cette province ? Toutefois,
il y a différentes sortes de meurtres, et ceux qui sont tués
ont commis des fautes de divers degrés de gravité. Ceux
qui tuent les assassins de leurs parents, de leur souverain ou de leur
maître commettent bien un meurtre, mais la gravité de leur
crime, de ce fait, est allégée. Les lettrés non
bouddhistes de nos jours en conviennent. Des bodhisattvas d'une grande
bienveillance, s'ils font des dons aux ennemis du Sutra du Lotus,
tomberont inévitablement dans l'enfer avici.
Mais, à l'inverse, même des personnes ayant commis les cinq forfaits, si elle haïssent
ces ennemis du Sutra du Lotus, renaîtront immanquablement
dans les mondes-états des hommes ou du Ciel. Il est
difficile d'avoir foi dans le Sutra du Lotus. C'est pourquoi
le Bouddha emprunte diverses formes, se changeant en un enfant, un parent
ou une épouse pour nous inciter à croire en cet enseignement.
Mais en ce qui vous concerne, vous êtes mari et femme, sans enfant.
Il est dit dans le Sutra : "Les êtres humains en
son sein [le monde des trois plans]
sont tous mes enfants."(réf.) Par conséquent le Bouddha Shakyamuni, Maître
de la doctrine, est sans doute un père bienveillant pour Ko nyudo et son épouse. Quand je
parle de cette manière, le souverain du pays et d'autres pensent
peut-être que je profère des menaces. Mais je ne dis pas
cela [le moins du monde] par haine. C'est plutôt motivé
par une bienveillance profonde, afin qu'ils puissent effacer en cette
vie-ci la cause des tortures dans l'enfer avici [dans lequel ils seront autrement condamnés à tomber]. Dans votre
lettre, à propos de la récitation du Sutra, vous
écrivez : "Du jour où mon père bienveillant a fermé les yeux jusqu'au treizième anniversaire de son
décès, j'ai récité le Jigage devant le Bouddha Shakyamuni et prié pour que le mérite
en revienne à l'esprit du défunt." Parfois, nous répartissions la nourriture
sur les bouts d'écorce qui nous servaient d'assiettes, parfois
nous la recevions simplement dans le creux de la main pour la manger
aussitôt. A l'extérieur, le maître de maison semblait
redouter les autorités, mais en privé il éprouvait
pour nous une grande pitié et nous traitait avec bienveillance.
Je ne l'oublierai jamais, dans aucune vie future. Il fut alors pour
moi plus précieux que les parents qui m'avaient donné
la vie. La dette que j'ai contractée à son égard
est si grande que je dois m'en acquitter à tout prix. Encore
moins pourrais-je manquer à la promesse que je lui ai faite. Le bodhisattva Kashyapa lui posa la question suivante : "Puisque le Bouddha ressent une
bienveillance égale pour tous, vous devriez, au moment de mourir,
éprouver de la compassion pour toute l'humanité. Alors,
pourquoi favoriser ainsi le roi Ajatashatru ? "
Le Bouddha répondit : "Imaginons qu'un couple ait sept
enfants et que l'un d'eux tombe malade. Même si le père
et la mère portent un amour égal à tous leurs
enfants, c'est pour celui qui est malade qu'ils s'inquiéteront
le plus."(réf.) Zhiyi* a cité ce passage dans le Maka
Shikan. Le Bouddha considère tous les hommes comme
ses enfants. Aussi, à l'instar des parents qui se font plus
de souci pour leur enfant malade, le Bouddha se préoccupe davantage
d'un homme assez mauvais pour avoir tué ses parents et s'être
fait l'ennemi des enseignements du Bouddha. C'est pourquoi le
Bouddha retourna au palais et lui enseigna le Sutra
Kambutsu Zammai Et pour sa mère défunte, la reine Maya, Shakyamuni séjourna
pendant 90 jours dans le Ciel Trayastrimsha pour lui enseigner le Sutra
Maya. On pourrait
croire qu' il ne voulait dissimuler aucun enseignement
ésotérique à son père bienveillant et
à sa mère compatissante. Pourtant, il ne leur enseigna
pas le Sutra du Lotus. En définitive, ce n'est pas en
fonction des capacités de ceux qui l'écoutaient que le
Bouddha enseigna ce Sutra mais, tant que le moment propice
ne fut pas venu, il ne voulut absolument pas l'enseigner. Mais si nous voyons et entendons une personne offenser le Dharma, et la laissons faire sans rien dire, alors qu'elle pourrait
être sauvée, c'est comme si nous détruisions nos
magnifiques capacités de voir et d'entendre, et c'est agir
avec le plus grand manque de bienveillance. Alors l'Honoré
du monde, maître d'une compassion immense, entra dans une méditation aussi bienveillante que la lune (note) pour le bien du roi Ajatashatru.
Lorsqu'il parvint au degré le plus profond de sa méditation,
un éblouissant rayon de lumière émana du Bouddha
et vint toucher le corps du roi. Instantanément ses pustules disparurent." Notre père bienveillant, le Bouddha Shakyamuni, l'Honoré
du monde parvenu à l'Éveil
parfait sans supérieur (anokutara sammyaku
sambodai), fit son apparition dans un royaume d'Inde centrale
à une époque où la durée
de la vie humaine était de cent ans ; et, toute sa vie durant,
il exposa les enseignements sacrés à l'intention de tous les êtres
vivants. Quand le
Bouddha apparut en ce monde, le premier principe sur lequel il appuya
sa conduite fut la bienveillance à l'égard des êtres
vivants. Ne pas ôter la vie et pourvoir à la subsistance
de ce qui vit sont les deux principaux préceptes exprimant la
compassion à l'égard des êtres vivants. En ce qui
vous concerne, n'étant qu'un simple mortel, vous n'avez d'autre
vision que celle des simples mortels ; vous ne pouvez pas voir dans quel
monde se trouvent vos parents mais vous vous demandez si la souffrance
n'est pas leur sort également. C'est la preuve de votre piété
filiale. Bonten, Taishaku,
les divinités Nitten, Gatten et les quatre Rois du Ciel vous
observent sans nul doute, et vous bénéficierez de leur
bienveillance. Dans sa jeunesse,
il avait renoncé à sa position royale, montrant par là
une détermination incomparable à rechercher la Voie. Dans
sa pratique du bouddhisme, il avait parcouru plus de cinquante régions
de l'Inde, et sa bienveillance infinie l'avait même conduit jusqu'en
Chine [pour propager le Dharma]. Tant
que vous vous trouvez en ce monde Saha, vous êtes entourés par votre famille, vos parents, par
des frères et des soeurs, un mari, une femme, des enfants. Vous
pouvez être protégé par la bienveillance d'un père,
l'amour inépuisable d'une mère. Mari et femme sont aussi
inséparables que des crevettes vivant sous la mer au creux de
la même éponge, animaux qui semblent s'être juré
de partager le même abri sans jamais s'en écarter de toute
leur vie. Ils peuvent dormir dans le même lit et se blottir ensemble
sous des couvertures brodées de canards mandarins, mais ce voyage
dans l'au-delà, ils ne pourront pas le faire ensemble. Quand
ils devront avancer seuls dans l'obscurité qui viendra les encourager ? Le Bouddha
parvint à guérir l'avidité en utilisant le remède
de la méditation sur l'impureté
du corps ; à calmer l'arrogance par la méditation de la
bienveillance à l'égard de tous ; et à chasser la
stupidité par la méditation sur les douze liens causeaux
sur l'origine interdépendante. "Un
bon maître" est un moine innocent de toute transgression du
Dharma mondaine, qui n'est jamais, si peu que ce soit, servile [auprès
des autorités], qui, avec peu de désirs connaît de
grandes satisfactions ; un moine doté de bienveillance, ayant foi
dans les écrits, qui lit et protège le Sutra du Lotus en exhortant les autres à faire de même. C'est d'un moine
de ce genre que le Bouddha fait l'éloge en le désignant
comme le meilleur des Maîtres
du Dharma. En l'entendant dire
cela, ses autres disciples et moi, Yorimoto, inquiets, lui avons conseillé : "Nous savons bien que vos
paroles sont motivées par une profonde bienveillance, et par
votre respect du Sutra du Lotus ; mais puisque le moine Ryokan est révéré dans le Japon entier, et en particulier
par les samouraïs de Kamakura,
peut-être devriez-vous éviter de le contredire de manière
trop radicale... " Le Bouddha Shakyamuni se
demandait si même les bodhisattvas Fugen et Manjushri auraient
la force de propager le Sutra du Lotus à l'époque
des Derniers jours du Dharma.
C'est pourquoi il a confié les cinq caractère de Myo Ho
Ren Ge Kyo à Jogyo et aux
trois autres guides de la multitude des bodhisattvas Surgis-de-Terre. Quand je réfléchis à tout cela, je
me demande si ce n'est pas le bodhisattva Jogyo qui est entré dans votre corps, afin de m'aider, moi Nichiren,
dans la propagation. Ou peut-être est-ce un effet de la bienveillance du Bouddha Shakyamuni. Dans ces
passages des sutras, l'Honoré du monde du Grand Éveil met en garde les simples mortels qui vivront aux époques futures,
comme un père bienveillant avertit ses enfants ignorants. Malgré
cela, à aucun moment, ils ne s'éveillent. Pas un instant
non plus ils n'éprouvent le désir de rechercher la voie. Par le passé, un bodhisattva appelé Kiken étudia le Sutra du Lotus sous la direction du bouddha Suprême-et-pur-éclat-du-soleil-et-de-la-lune. Il fut si profondément touché par la bienveillance de son maître envers lui, et par l'élévation des pensées contenues dans le Sutra, qu'il offrit tous les trésors rares qu'il possédait, jusqu'au dernier. Mais, toujours insatisfait, il s'enduisit le corps d'huile, et brûla son corps en offrande au Bouddha pendant mille deux cents ans, de la même manière que, de nos jours, nous faisons brûler de l'huile en y trempant une mèche et en l'allumant. Dans la
dette de reconnaissance à l'égard nos parents, celle envers
notre père pourrait être comparée au ciel, et celle
envers notre mère, à la terre. Il n'est pas facile de
dire envers qui des deux cette dette est la plus importante. Mais le
plus difficile est de s'acquitter de l'immense reconnaissance que l'on
doit à la bienveillance d'une mère. Ainsi, le bienveillant Bouddha
Shakyamuni est devenu le maître du malfaisant Devadatta,
et le sage Manjushri, est devenu
le maître de la fille ignorante
du Roi-dragon. Nichiren, ne peut pas être inférieur à Manjushri, ou au Bouddha Shakyamuni.
Les hommes du Japon sont semblables à Devadatta et les femmes, semblables à la fille
du Roi-Dragon. Il semble impossible d'exprimer toute la reconnaissance que l'on ressent
envers Shakyamuni ; mais par les dons que vous me faites fréquemment
parvenir au fin fond de ces montagnes vous vous acquittez de la reconnaissance
que suscite en vous la bienveillance du Sutra du Lotus et
du Bouddha Shakyamuni. Dans les sutras provisoires,
Shakyamuni enseigna les cinq préceptes pour les êtres dans l'état
d'hommes, les dix préceptes
de bien pour les êtres célestes ; à la divinité Bonten, les quatre
bienveillances sans limites. Chez des oiseaux comme le faucon ou l'aigle, les
parents ont beau élever leurs petits avec bienveillance, leur
progéniture, en retour, les mange. Et le hibou, une fois sorti
de l'oeuf, ne manque jamais de dévorer sa mère. Voilà
ce qui s'observe au niveau inférieur du monde animal. Votre petit village a été
soumis à des taxes très lourdes, et ses habitants ont
été contraints à plusieurs reprises à des
travaux forcés, jusqu'à ce que vous n'ayez même
plus vous-même de cheval à monter, et que votre femme et
vos enfants manquent de vêtements. Pourtant, malgré votre
pauvreté, vous vous êtes préoccupé avec bienveillance du Pratiquant du Sutra du Lotus, pensant qu'il devait être
assiégé par la neige au fin fond des montagnes, et qu'il
devait manquer de nourriture. La bienveillance de tous les bouddhas est comme la lune dans le ciel.
Si les eaux de la réceptivité sont claires, la lune reflétera
son image de bienfaits dans les eaux de la réceptivité
de tous les hommes sans exception. Comment se fait-il que de trois
époques, ceux du Dharma correct,
du Dharma formel et des Derniers
jours du Dharma,
cette doctrine soit enseignée seulement dans les Derniers
jours du Dharma ? Est-ce que cela ne signifie pas que la bienveillance du Bouddha est
partiale et discriminante ? Le riz aussi est toujours
identique à lui-même, mais, lorsqu'il sert de nourriture
à ceux qui s'opposent au
Dharma, il maintient en vie des personnes qui détruisent
les graines de la bodhéité, et leur permet ainsi de devenir
des ennemis plus redoutables encore. Pourtant, si le riz soutient leur
vie, ces personnes ne finiront-elles pas un jour par s'incliner devant
le Sutra du Lotus ? Quant au riz qui alimente le Pratiquant du Sutra du Lotus, c'est le riz de la plus grande bienveillance,
parce qu'il profite à tous les êtres vivants. |
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