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Extraits de gosho sur |
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Vasubandhu |
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Le même principe vaut à l'intérieur
du bouddhisme même. Dans un pays où il s'est répandu,
il faut combattre le Hinayana à l'aide des sutras du Mahayana,
comme le fit le bodhisattva Asanga lorsqu'il réfuta les enseignements du Hinayana pronés par Vasubandhu.
Dans un pays où il a été propagé, il faut
réfuter le Mahayana
provisoire* en exposant le Mahayana
définitif* qui permit au Grand-maître* de remporter la
victoire sur les Trois écoles de Chine du Sud et les sept écoles de Chine du Nord. Si, tout à coup, vous vous sentiez proche de
la mort, alors même que vous êtes en train de manger du
poisson ou de la volaille, si vous êtes capable de lire le Sutra,
alors, il faut le faire, et réciter Namu
Myoho Renge Kyo. A plus forte raison pendant la période
de vos règles.
Cela revient au même que réciter Namu
Ichijo Myoden. Mais il est préférable de réciter
seulement Namu
Myoho Renge Kyo comme le firent le bodhisattva Vasubandhu et le Grand-maître* Zhiyi* (note). J'ai de bonnes raisons de parler ainsi.
En Inde, les bodhisattvas Vasubandhu et Ashvaghosha, et, en Chine,
les moines Huiguang et Daoxuan ont souligné leur importance. Et dans notre pays, sous le règne
du quarante-cinquième souverain, l'empereur Shomu,
le moine chinois Ganjin introduisit
au Japon les enseignements de l'école Ritsu en même temps que ceux de l'école Tendai,
et il établit au temple Todai-ji une salle pour y conférer les préceptes. Depuis cette époque
jusqu'à nos jours, pendant de longues années, les préceptes
ont été révérés et ils sont chaque
jour un peu plus respectés. Si l'on
croit véridique le passage du Bodaishin
Ron, il contredit le Daichido Ron* de Nagarjuna et,
d'un point de vue plus général encore, il s'oppose à
la seule grande raison (note) de la venue de tous les bouddhas en ce monde. Nagarjuna, Vasubandhu et d'autres sont
tous apparus en ce monde pour propager l'enseignement du Bouddha Shakyamuni. Nagarjuna fut l'un des 24 successeurs du Bouddha. Aurait-il pu réellement être l'auteur d'une
interprétation aussi erronée ? Au cours des plus de 2200 ans écoulés depuis la
disparition du Bouddha, dans toute l'Inde, la Chine, le Japon et le
monde entier [comme le Grand-maître* Zhiyi* l'a déclaré] : "Vasubandhu et Nagarjuna avaient clairement
perçu la vérité dans leur coeur, mais ils ne l'enseignèrent
pas. A sa place, ils exposèrent les enseignements
du Mahayana provisoire*,
qui étaient adaptés à leur époque."(réf.) Zhiyi* et Saicho* en donnèrent une indication générale, mais
laissèrent aux générations futures la tâche
de la propager. Le Sutra
du Lotus contient deux principes importants (note), dont les écoles Kusha, Jojitsu, Ritsu, Hosso et Sanron ne connaissent rien, pas même le nom. Par contre, les écoles Kegon et Shingon se sont sournoisement emparées de ces principes pour en faire le
coeur de leurs propres enseignements. Le principe d'ichinen
sanzen ne se trouve que dans l'enseignement
essentiel* du Sutra du Lotus, caché dans les profondeurs du chapitre Juryo* (XVI). Les bodhisattvas Nagarjuna et Vasubandhu en avaient connaissance
mais ne le révélèrent pas. Seul le Grand-maître Zhiyi l'adopta et le conserva sans cesse à l'esprit. Le bodhisattva Ashvaghosha dit dans le Daijo
Kishin Ron : "Il n'y a que de purs bienfaits dans la nature
de bouddha." Le bodhisattva Vasubandhu fit remarquer, dans son Yuishiki Ron : "Quand un bodhisattva
parvient à une étape ultime de la pratique, par une concentration pareille au diamant, il
élimine tout ce qui reste des graines du désir, rejette
toute sagesse imparfaite et développe ainsi la conscience ultime,
la pureté et la perfection totales." Le Grand-maître* Saicho* a dit : "Les périodes du Dharma
correct et du Dharma formel sont
presque terminées, et celle des Derniers
jours du Dharma est proche."(réf.) Ces mots indiquent son grand désir de vivre au commencement de
l'époque des Derniers jours du
Dharma.
Lorsque l'on compare les bienfaits de vivre aux trois époques différentes,
il est clair que les miens dépassent non seulement ceux de Nagarjuna et de Vasubandhu, mais aussi
ceux de Zhiyi* et de Saicho*. L'enseignement du chapitre Juryo* (XVI) revêt pour moi, Nichiren, une signification particulière. Zhiyi* et Saicho* le comprirent presque entièrement mais ne le révélèrent
pas explicitement, et c'est également vrai de Nagarjuna et Vasubandhu. Le Jigage indique : "N'ayant à l'esprit qu'un seul désir,
celui de voir le Bouddha, il ne donne pas sa vie à contrecoeur."
Moi, Nichiren, j'ai fait surgir la bodhéité du plus profond de ma vie en vivant selon cette phrase. C'est ainsi
que j'ai révélé les Trois
grands Dharmas cachés, en concrétisant le principe
d'ichinen sanzen contenu dans le chapitre Juryo* (XVI). C'est une vérité précieuse
que nous devons garder ! Deux mille
deux cent vingt-deux ans se sont maintenant écoulés depuis
la mort du Bouddha. Pendant les mille ans de l'époque du Dharma
correct, Nagarjuna, Vasubandhu et d'autres, en tant qu'envoyés du Bouddha, ont propagé
le Dharma. Mais ils n'ont enseigné que le Hinayana et le Mahayana provisoire*,
jamais le Mahayana définitif*. L'interprétation de Huisi est la même que celle de Zhiyi*.
Les sutras n'établissent pas de façon tout à fait
claire que les deux interprétations sont possibles, autrement dit
que l'on peut considérer le lotus à la fois comme une essence
réelle et comme une image. Mais Huisi et Zhiyi* ont pu distinguer ces deux aspects en s'appuyant sur les traités
de Vasubandhu et de Nagarjuna. Nagarjuna et Vasubandhu furent tous deux des Maîtres, auteurs de mille ouvrages. Cependant,
ils n'exposèrent que les enseignements du Mahayana
provisoire*. Question. — Quelles sont les lois ésotériques qu'au cours de plus de deux mille ans qui se sont écoulés depuis la mort de l'Ainsi-Venu, Nagarjuna, Vasubandhu, Zhiyi, Saicho, ont laissées de côté ? Réponse. — L'objet fondamental de la vénération (gohonzon), l'estrade d'ordination (kaidan) (note) et les cinq caractères du titre (daimoku), qui relèvent de la doctrine de l'état originel (honnu). Empli d'admiration respectueuse, Yi-long fit ce serment : "A dater
de ce jour, jamais plus je ne calligraphierai un seul caractère
d'écrits non bouddhiques." Son attitude était identique
à celle du bodhisattva Vasubandhu jurant de ne plus jamais réciter les sutras du Hinayana,
ou celle de Nichiren déclarant qu'il ne réciterait jamais
plus le nom du bouddha Amida. Vasubandhu, Nagarjuna voyaient clairement à l’intérieur d’eux-mêmes”.
Le Grand-maître* Zhiyi* disait : “la dernière période de cinq cents ans sera largement humectée par la voie merveilleuse”. (réf.) Le Grand-maître* Saicho* disait : “Les période du Dharma
correct et du Dharma formel sont
déjà passées et terminées. La fin
du Dharma est extrêmement proche. C’est véritablement
le temps, à présent, de la prédisposition au Véhicule
unique de la Fleur du Dharma. Comment peut-on le savoir ? Le
chapitre Pratiques
paisibles indique : "Dans l’ère finale, lorsque le Dharma disparaîtra…"(réf.) Ces maîtres des traités, ces maîtres hommes
savaient que la période de luttes et de controverses que sera
la période de la fin du Dharma, sera le temps où le bodhisattva
sortira de terre pour propager Namu
Myoho Renge Kyo, cœur essentiel de la doctrine primordiale. Pourquoi les gens n'en sont-ils pas
convaincus ? Il vaut mieux être un lépreux qui récite Namu Myoho Renge Kyo que le Grand-patriarche de l'école Tendai ! Comme l'empereur Liang Wu Di (502
- 557) en prit l'engagement solennel (note) : "Je préférerais être Devadatta
et tomber dans l'enfer avici que
le sage non bouddhiste Udraka Ramaputra." Question : Les maitres Nagarjuna et Vasubandhu ont-ils fait
allusion à cela ? Réponse : Nagarjuna et Vasubandhu savaient cela dans leur coeur mais ils ne l'ont pas exprimé par
les mots. Question : Pourquoi ne l'ont-ils pas fait ? Réponse : Pour de nombreuses raisons. D'une part, les gens à leur époque
n'avaient pas la capacité de le comprendre. D'autre part, le
temps n'était pas propice. En troisième lieu, ils étaient
des bodhisattvas des enseignements
théoriques, et par conséquent la transmission ne leur
avait pas été confiée. Une personne
de valeur, même en vivant dans la sécurité, anticipe
le danger ; un flatteur hypocrite, tout en vivant dans l'instabilité,
croit la sécurité acquise. Un grand feu est à la
merci d'une petite quantité d'eau, et même un oiseau minuscule
peut briser les branches d'un grand arbre. Ce que le sage craint, c'est
l'opposition au Mahayana. Voilà
pourquoi le bodhisattva Vasubandhu voulut se couper la langue (note),
le bodhisattva Ashvaghosha supplia qu'on lui coupe la tête, et le Grand-maître* Jizang fit un pont de son propre corps. Le Savant-maître* Xuanzang se rendit en Inde,
la terre sacrée, pour trouver la vérité, le Savant-maître* Amoghavajra* entreprit le même voyage pour dissiper ses doutes (note) et le Grand-maître* Saicho* alla chercher des confirmations
en Chine. Tous ces hommes n'agirent-ils pas comme ils le firent pour
protéger le véritable sens des sutras et des traités ? Le bodhisattva Vasubandhu fut d'abord un maître
du bouddhisme Hinayana. Pour entraver
la propagation du bouddhisme Mahayana dans l'Inde entière, il écrivit cinq cents traités
sur le Hinayana. Cependant, il
réalisa que ses conceptions étaient fausses en dialoguant
avec le bodhisattva Asanga. Vasubandhu dit à Asanga qu'il voulait
se couper la langue pour expier son crime. Asanga l'en dissuadaien disant : "Utilise plutôt ta langue pour faire
l'éloge du Mahayana." Vasubandhu se mit alors immédiatement à écrire cinq cents traités
sur le Mahayana afin de réfuter
le Hinayana. Il fit aussi le serment
de ne plus jamais enseigner, tant qu'il vivrait, un seul mot du Hinayana.
De cette façon, il effaça son offense et renaquit plus tard
dans le ciel [Tushita] où
vit le bodhisattva Maitreya. Un enseignement d'une grande importance est bien proche
d'être révélé. Celui qui, en accord avec
le temps, parvient à discerner, sans la moindre erreur, ce qui
est vital, à la fois pour lui-même et pour le pays, est
une personne de sagesse. On respecte le Bouddha pour sa capacité
à connaître le passé et à discerner le futur.
Il perçoit les trois phases de la vie avec une sagesse inégalée. Sans être
bouddha, des sages et des personnes
de mérite tels que Nagarjuna, Vasubandhu, Zhiyi* et Saicho*,
malgré une sagesse inférieure à celle du Bouddha,
eurent une perception d'ensemble des trois
phases, et leurs noms pour cela passèrent à la postérité. Le Bouddha considère tous les êtres qui vivront
après sa mort comme ses propres enfants, et il les aime tous
avec impartialité. Mais de même qu'un médecin prescrit
divers médicaments en fonction de la maladie qu'il traite, pour
les cinq cents premières années qui suivraient sa mort, le Bouddha recommanda à Mahakashyapa, Ananda et à d'autres disciples
d'offrir comme remède à tous les êtres vivants les
sutras du Hinayana. Pour les
cinq cents ans qui suivraient, il confia aux bodhisattvas Manjushri, Maitreya, Nagarjuna et Vasubandhu, à l'intention
de tous les êtres vivants, le remède des sutras Kegon*, Vairocana*, Hannya* et des autres sutras du Mahayana. Pour l'époque du Dharma formel,
mille ans après sa mort, et à l'intention de tous les
êtres vivants, il confia aux bodhisattvas Yakuo, Kanzeon et à d'autres le
remède que constituent les enseignements restants, à l'exception
de Myoho Renge Kyo [Sutra du Lotus]. Et cela
n'est pas seulement vrai au Japon. En Inde, au cours des mille ans qui
suivirent la disparition du Bouddha, il y eut de grands érudits
tels que Mahakashyapa, Ananda, Ashvaghosha, Nagarjuna, Asanga et Vasubandhu,
qui entreprirent de propager le bouddhisme dans les cinq
régions de l'Inde. Et, dans les premiers siècles qui
suivirent l'introduction du bouddhisme en Chine, des hommes tels que Kashyapa Matanga et Chu Fa-lan,
les Savants-maîtres* Kumarajiva, Huisi, Zhiyi* et Zhanlan* écrivirent des commentaires et firent connaître l'enseignement
des sutras. Mais aucun d'eux ne conseilla jamais d'invoquer le Titre
du Sutra du Lotus de la même manière que l'on
invoque le nom du bouddha Amida.
Ils se contentèrent de le réciter eux-mêmes, ou,
lorsqu'ils donnèrent des cours sur le Sutra du Lotus,
celui qui professait seul récitait [cette invocation, le daimoku]. Les bodhisattvas Vasubandhu et Ashvaghosha voulurent
se couper la langue pour avoir [dans leur jeunesse] adhéré
au Hinayana et critiqué
le Mahayana. Le bodhisattva Vasubandhu déclara
que les sutras Agama* du Hinayana étaient sans
doute les paroles du Bouddha, mais qu'il n'en prononcerait jamais plus
un seul mot, même pour s'en moquer. Et le bodhisattva Ashvaghosha,
pour expier sa faute, écrivit le Kishin
Ron dans lequel il
réfuta les enseignements du Hinayana. Comme il est prodigieux que Nichiren ait, le premier, inscrit ce grand mandala, levant ainsi l'étendard
de la propagation du Sutra du Lotus, alors même que de
Grands-maîtres comme Nagarjuna, Vasubandhu, Zhiyi* et Zhanlan* furent incapables de le faire ! Ce mandala n'est en rien une invention
de Nichiren. C'est l'objet de vénération qui dépeint
parfaitement le vénérable Shakyamuni et tous les autres
bouddhas dans la Tour aux Trésors,
aussi fidèlement que l'estampe correspond à la planche
à graver. Quant à
l'enseignement dont je parle : après la mort de l'Ainsi-venu,
en Inde, pendant plus de mille cinq cents ans, elle était connue
par les vingt-quatre successeurs du
Bouddha - parmi lesquels Nagarjuna et Vasubandhu - mais ils ne
l'ont pas révélée. En Chine, pendant plus de mille
ans, la plupart des gens l'ignoraient ; seuls Zhiyi* même pour le Grand-maître* Saicho*. Mépriser Nichiren, et refuser de
réciter Namu
Myoho Renge Kyo, c'est être comparable à un
bébé qui refuserait de téter ou à un malade
qui, n'ayant pas confiance dans son médecin, refuse de prendre
le médicament qui lui a été prescrit. Nagarjuna et Vasubandhu connaissaient
cet enseignement mais ne le propagèrent pas, peut-être
parce que le temps n'était pas venu et que les gens de leur époque
n'avaient pas la capacité de le comprendre. D'autres ne l'ont
pas propagé peut-être parce qu'ils l'ignoraient. Le bouddhisme
se propage en fonction du temps et des capacités des gens. Après la disparition du Bouddha, de Grands-maîtres et lettrés
[du bouddhisme] comme Mahakashyapa, Ananda, Nagarjuna, Vasubandhu, Zhiyi*, Zhanlan*, Saicho* et Gishin*,
connaissaient cette doctrine, mais l'ont gardée en leur coeur
et ne l'ont pas propagée de manière explicite. Car le
Bouddha leur avait interdit de le faire en disant qu'après sa
disparition, ce Grand Dharma ne devra pas être divulgué
jusqu'au début de l'époque des Derniers
jours du Dharma.
Moi, Nichiren, je ne suis peut-être pas l'envoyé du Bouddha, mais nous sommes bien dans l'époque des Derniers
jours du Dharma. Prendre pour objet de vénération
Shakyamuni qui atteignit la bodhéité il y a d'innombrables kalpas ainsi que ses compagnons
aurait été aussi inconcevable que l'apparition du soleil
en pleine nuit ou celle de la lune en plein jour. Les quatre
rangs de saints aux époques du Dharma
correct et du Dharma formel ne
l'ont pas même mentionné, parce que c'est le bodhisattva Jogyo qui doit apparaître
pour l'établir, dans la première période de cinq
cents ans de l'époque des Derniers
jours du Dharma. Nagarjuna et Vasubandhu le connaissaient dans leur coeur mais ne le révélèrent
pas aux autres. Dans les
deux mille ans et plus qui s'écoulèrent "après
sa mort", personne, pas même Nagarjuna, Vasubandhu, Zhiyi* ou Saicho*,
ne subit aucune des persécutions, encore plus grandes, qui étaient
prédites. Ils furent indéniablement des pratiquants du Sutra du Lotus, mais puisque tel est le cas, d'où
vient qu'aucun d'eux ne versa la moindre goutte de sang, à l'instar
du Bouddha, ou n'endura des épreuves encore plus grandes ? Les prédictions du Sutra pourraient-elles être
fausses et les paroles du Bouddha, de grands mensonges ? On appelle les mille ans qui suivirent,
à dater du jour de sa mort, l'époque du Dharma
correct. Ces mille ans de l'époque du Dharma
correct se divisent en deux périodes. Au cours des premiers
cinq cents ans, les sutras du Hinayana furent propagés. Ceux qui les enseignèrent furent Mahakashyapa, Ananda et quelques autres. Dans
la deuxième période de cinq cents ans, Ashvaghosha, Nagarjuna, Asanga, Vasubandhu et d'autres propagèrent
les sutras du Mahayana provisoire*.
Certains de ces maîtres, dans leurs écrits, firent allusion
à des aspects partiels du Sutra du Lotus, et d'autres
ne le mentionnèrent jamais. Parmi les maîtres apparus après
les mille ans de l'époque du Dharma
correct, certains donnèrent des interprétations ressemblant
à l'enseignement du Bouddha lui-même, mais sur de nombreux
points ils tombèrent dans l'erreur. Parmi ceux [apparus à
l'époque du Dharma correct]
qui n'étaient pas dans l'erreur mais dont l'enseignement restait
incomplet, se trouvent Mahakashyapa, Ananda, Ashvaghosha, Nagarjuna, Asanga et Vasubandhu. |
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