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Extraits de gosho sur

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Kannon - Kanzeon

Qu'il est pénible de les voir inutilement encourager de telles croyances erronées. Il en résulte que, du souverain au plus humble paysan, tout le monde croit qu'il n'existe pas de sutra valables en dehors des trois sutras de la Terre pure, et qu'il n'y a aucun autre bouddha que le bouddha Amida et ses deux parèdres [Kannon et Seishi].
Rissho Ankoku ron (Kamakura-Matsubagayatsu, juillet 1260)

Le bouddha Amida et les divers autres bouddhas ont fait le voeu de bienveillance. Pour cette raison et peut-être avec une certaine honte (note) ils ont fait leur apparition en ce monde Saha, le bouddha Amida proclamant ses quarante-huit voeux et le bouddha Yakushi*, ses douze grands voeux. Avalokitesvara (Kanzeon), ainsi que d'autres bodhisattvas venus d'autres terres ont fait de même.
Le savant maître Chan-wou-wei (Kamakura, 1270 à Joken-bo et Gijo-bo)

Mais comme il est devenu évident que le Bouddha Shakyamuni atteignit l'Éveil dans le passé illimité, il est certain que les bodhisattvas Nikko et Gakko, acolytes du bouddha Yakushi* de l'Est, les bodhisattvas Kannon et Seishi, acolytes du bouddha Amida de l'ouest, ainsi que les disciples de tous les bouddhas des mondes des dix directions et les grands bodhisattvas, disciples du bouddha Vairocana* mentionnés dans les sutras Vairocana* et Kongocho*, tous sont les disciples du Bouddha Shakyamuni.
Traité pour ouvrir les yeux 2(Sado, février 1272 à Shijo Kingo)

Le vénérable Mahakashyapa qui vit sur le Mont Keisoku [Kukkutapada] ; Manjushri qui vit sur le Mont Shoryo [Clarté et douceur] ; le bodhisattva Jizo qui réside dans le monde Kharadiya et Kannon qui vit sur le Mont Potalaka ; le bodhisattva Maitreya qui réside au Ciel Tushita ; Nanda et les innombrables autres rois-dragons et rois asura qui vivent au fond des mers ; Taishaku qui réside au Ciel Trayastrimsha ; Bonten qui se trouve au Ciel Akanishta ; Makeishura qui vit dans le sixième Ciel, les quatre Rois du Ciel, qui se trouvent sur les pentes du Mont Sumeru ; Nitten, Gatten et les multitudes d'étoiles apparaissant devant nos yeux et brillant au-dessus de nos têtes ; les divinités des fleuves et des cours d'eau, et les divinités de la montagne  : tous faisaient partie de l'honorable Assemblée quand fut exposé le Sutra du Lotus.
La prière pour la pluie des trois maîtres du Tripitaka (Minobu, 22 juin 1275 au nyudo Nishiyama)

Ceux qui atteignirent la bodhéité grâce à l'enseignement essentiel* sont incomparablement plus nombreux que ceux qui l'atteignirent grâce à l'enseignement théorique*. Les premiers sont comparables à l'océan et les seconds à une goutte d'eau, les uns à une grande montagne et les autres à un grain de poussière. De plus, un bodhisattva de l'enseignement essentiel est de loin supérieur à tous les bodhisattvas de l'enseignement théorique, qu'il s'agisse de Manjushri, de Kannon ou de tout autre dans l'univers. La différence entre eux est encore plus grande qu'entre Taishaku et un singe.
[...] Le bodhisattva Manjushri est un disciple du bouddha Fudo, qui réside dans un monde doré, à l'Est. Le bodhisattava Kannon est un disciple du bouddha Amida, à l'ouest. Le bodhisattva Yakuo, un disciple du bouddha Nichigatsu Jomyotoku. Le bodhisattva Fugen est un disciple du bouddha Hoi. Ils vinrent en ce monde pour aider le Bouddha Shakyamuni à transmettre la doctrine aux hommes de son époque. C'étaient des bodhisattvas des enseignements provisoires et théoriques*.
[...] A la fin du second millénaire, le bodhisattva Kannon renaquit sous la forme de Huisi et le bodhisattva Yakuo se manifesta sous celle de Zhiyi*. Ils mirent en lumière l'enseignement théorique* et laissèrent dans l'ombre l'enseignement essentiel*.
Le véritable objet de vénération (Sado, avril 1273 à Toki Jonin)

Le bodhisattva Yakuo apparut sous la forme du Grand-maître* Zhiyi*, le bodhisattva Kanzeon prit celle du Grand-maître* Huisi, et le bodhisattva Maitreya prit l'apparence de Fudaichi.
[...]  Mes actions ne sont en rien inférieures à celle des ministres Guan Longfeng et Bi Gan, dans l'Antiquité. Peut-être pourrait-on me comparer à Kannon aux mille bras, ce bodhisattva dont la grande bienveillance sauve immédiatement tous les êtres prisonniers de l'enfer avici.
Réfuter l'opposition au Dharma bouddhique pour se libérer de ses fautes passées (Sado, 1273 à Shijo Kingo)

Le vénérable Shakyamuni, en présence du bouddha Taho et de tous les autres bouddhas qui étaient ses émanations venus des dix directions, a laissé un grand médicament, les cinq caractères de Myo Ho Ren Ge Kyo pour les hommes qui vivraient à l'époque des Derniers jours du Dharma. Il refusa de transmettre ces caractères à Hoe, Kudokurin, Kongosatta, Fugen, Mahjushri, Yakuo et Kannon et encore moins à Mahakasyapa, ou toute autre personne des deux véhicules. Par contre, quatre grands bodhisattvas, au nombre desquels Jogyo, avaient été les disciples du Bouddha Shakyamuni depuis le passé de gohyaku jintengo*, sans avoir jamais oublié un seul instant le Bouddha. Shakyamuni les convoqua et leur transmit ces caractères de Myoho Renge Kyo.
Le don du mandala du Dharma Merveilleux (Sado, 1273 à Sennichi-ama)

Après quoi, le Bouddha Shakyamuni ôta sa robe couverte de poussière, ouvrit la Tour aux Trésors et s'assit à côté du bouddha Taho. Ce fut comme si le soleil et la lune apparaissaient côte à côte dans un ciel bleu, ou comme si Taishaku et le Roi né par le sommet du crâne prenaient place ensemble dans le Palais de la Bonne Loi. Manjushri et les bodhisattvas de ce monde, aussi bien que Kannon et les bodhisattvas des autres mondes, se rassemblèrent dans l'espace ouvert des dix directions comme autant d'étoiles peuplant le ciel.
Réfuter l'opposition au Dharma bouddhique pour se libérer de ses fautes passées (Sado, 1273 à Shijo Kingo)

Les trente-trois manifestations du bodhisattva Myoon* et les trente-trois manifestations du bodhisattva Kannon constituent des preuves supplémentaires. Car, comme il est dit dans le commentaire de Zhanlan*  : "S'ils n'avaient pas obtenu le pouvoir mystérieux de la parfaite liberté d'action donné par la méditation sur le Sutra du Lotus, comment pourraient-ils se manifester en ces trente-trois corps différents  ? "(réf.)
[...] Le Grand-maître* Huisi fut, dit-on, une incarnation du bodhisattva Kannon, et le Grand-maître* Zhiyi*, une incarnation du bodhisattva Yakuo. S'il en est ainsi, ils étaient présents au Pic du Vautour lorsque le Bouddha exposa le chapitre Juryo* (XVI) de l'enseignement essentiel*, et ils s'éveillèrent donc alors au lotus de l'essence réelle. Mais lorsqu'ils réapparurent en ce monde [respectivement sous la forme de Huisi et de Zhiyi*], ils savaient que le temps propice n'était pas encore venu de répandre le Dharma Merveilleux. Par conséquent, aux termes "Dharma Merveilleux" [Myoho], ils substituèrent les termes "concentration et intuition" [shikan], et s'engagèrent plutôt dans la pratique d'ichinen sanzen par la Triple contemplation de l'unité. Mais ces Grands-maîtres récitèrent Namu Myoho Renge Kyo en privé, et ils étaient intérieurement convaincus que ces mots exprimaient la vérité.
L'ainsité du Dharma Merveilleux (Sado, 1273 ? à Sairen-bo)

Des bodhisattvas tels que Manjushri, vivant dans le Monde doré, le bodhisattva Maitreya, dans le palais du Ciel Tushita, Kannon sur le Mont Potalaka et Yakuo, qui avait été le disciple du bouddha Nichigatsu Jomyotoku, tous exprimèrent leur désir de propager [la foi en] ce honzon de l'époque des Derniers jours du Dharma mais le Bouddha a refusé. Tous ces bodhisattvas étaient connus pour leur sagesse et leurs profondes connaissances, mais ils n'avaient entendu l'enseignement du Sutra du Lotus que depuis peu de temps [et la compréhension qu'ils en avaient était donc encore limitée]. Ainsi, ils ne seraient pas capables d'endurer les grandes persécutions de l'époque des Derniers jours du Dharma.
Réponse à Nii-ama (Minobu, 16 février 1275 à Nii-ama)

Quand le bodhisattva Jogyo sortit de terre, d'autres bodhisattvas comme Maitreya, Manjushri, Kanzeon et Yakuo, bien que libérés des premiers quarante et unième et quarante-deuxième niveaux d'ignorance, n'avaient pas totalement éliminé le niveau le plus profond, celui de l'obscurité fondamentale. Par conséquent on pourrait les qualifier d'ignorants qui ne comprirent pas que le bodhisattva Jogyo était apparu pour propager largement Namu Myoho Renge Kyo, principe caché entre les lignes du chapitre Juryo* (XVI), à l'époque des Derniers jours du Dharma
Le choix en fonction du temps 2(Minobu, 10 juin 1275 ; adressé à Yui)

Le bodhisattva Kanzeon, sur le Mont Potalaka, fut un bon ami bouddhique pour Zenzai Doji ; mais si le bodhisattva lui enseigna les deux doctrines des enseignements spécifique et global, il ne lui révéla pas l'enseignement pur et parfait du Sutra du Lotus.
La prière pour la pluie des trois maîtres du Tripitaka (Minobu, 22 juin 1275 au nyudo Nishiyama)

Mais le coeur des enseignements sacrés en quatre vingt-mille corbeilles, et l'oeil même du Sutra du Lotus, les cinq caractères de Myo Ho Ren Ge Kyo, il ne les confia pas à Mahakashyapa ou à Ananda, et ne les transmit pas non plus aux grands bodhisattvas Manjushri, Fugen, Kannon, Maitreya, Jizo ou Nagarjuna. Ces grands bodhisattvas l'auraient souhaité et lui en firent la requête, mais le Bouddha n'y consentit pas.
[...] Pour les cinq cents ans qui suivraient, il confia aux bodhisattvas Manjushri, Maitreya, Nagarjuna et Vasubandhu, à l'intention de tous les êtres vivants, le remède des sutras Kegon*, Vairocana*, Hannya* et des autres sutras du Mahayana. Pour l'époque du Dharma formel, mille ans après sa mort, et à l'intention de tous les êtres vivants, il confia aux bodhisattvas Yakuo, Kanzeon et à d'autres le remède que constituent les enseignements restants, à l'exception de Myoho Renge Kyo [Sutra du Lotus]. Mais à partir du début de l'époque des Derniers jours du Dharma, les sutras du Hinayana, les sutras du Mahayana et le Sutra du Lotus - confiés respectivement à Mahakashyapa, Ananda et à d'autres, aux bodhisattvas Manjushri, Maitreya et à d'autres, à Yakuo, Kanzeon et à d'autres - seront certes toujours présents en tant que textes, mais aucun d'eux n'aura plus la capacité de guérir les maux des êtres vivants. Les maladies seront trop graves et ces médicaments trop faibles. Ce sera l'époque où le bodhisattva Jogyo fera son apparition dans le monde pour révéler à tous les êtres vivants du Jambudvipa, les cinq caractères de Myo Ho Ren Ge Kyo.
[...] Alors Mahakashyapa, Ananda et d'autres, se cacheront au Pic du Vautour ou disparaîtront dans le Gange. Maitreya, Manjushri, et d'autres se réfugieront dans la cour intérieure du Ciel Tushita ou se retireront sur le Mont des Parfums ; le bodhisattva Kanzeon s'en retournera vers les régions de l'Ouest, et le bodhisattva Fugen vers les régions de l'Est.
Réponse au nyudo Takahashi (Minobu, 1275 au nyudo Takahashi Rokuru Hyoe)

[De plus le Sutra du Lotus affirme] que le Pratiquant de ce Sutra sera protégé par les innombrables bodhisattvas Surgis-de-Terre, les bodhisattvas Manjushri et Kannon, Bonten, Taishaku, les divinités Nitten, Gatten et les quatre Rois du Ciel et les dix Filles-démones. Il n'y a donc pas d'autre moyen d'atteindre la bodhéité que de pratiquer le Sutra du Lotus, car c'est le seul écrit qui dévoile la vérité du passé comme de l'avenir.
Lettre aux moines du Seicho-ji (Minobu, le 11 janvier 1276 aux moines du temple Seicho-ji)

Les enseignements des huit et neuf écoles (note) diffèrent les uns des autres, mais, d'un point de vue général, nous voyons que, dans la majorité des cas, les fondateurs et maîtres de ces écoles ont récité le nom du bouddha Amida. Viennent ensuite, par ordre d'importance, ceux qui récitèrent le nom du bodhisattva Kannon, ceux qui invoquèrent le nom du Bouddha Shakyamuni, suivis par ceux qui psalmodièrent le nom de Vairocana, de Yakushi* ou d'un autre bouddha. Mais, pour une raison quelconque, aucun d'eux n'a jamais récité le Titre du Sutra du Lotus, le coeur même et l'essence de l'enseignement dispensé par le Bouddha tout au long de sa vie.
[...] Quand j'ouvre respectueusement le Sutra du Lotus et le lis attentivement, je vois que même les bodhisattvas Manjushri, Maitreya, Kannon et Fugen, pourtant parvenus à l'étape de togaku avaient bien du mal à mettre en pratique ne serait-ce qu'une phrase ou un seul vers de ce Sutra, parce que dans le texte même il est dit qu'il "ne peut être compris et partagé que par des bouddhas."(réf.)
Lettre à Myomitsu Shonin (Minobu, le 5ème jour du 3ème mois intercalaire 1276 à Myomitsu)

Dans ces conditions, comment pourrait-on croire que le bouddha Amida prit la forme d'un moine, et apparut en rêve à Shandao pour lui confirmer la véracité de ses commentaires  ? Le bouddha Amida n'était-il pas présent lorsque le Sutra du Lotus fut enseigné et n'a-t-il pas tiré la langue [comme tous les autres pour témoigner de la véracité du Sutra  ? ] [Ses deux disciples] les bodhisattvas Kannon et Seishi n'étaient-ils pas présents eux aussi  ? [L'erreur de Shandao est évidente.] De même, il apparaît clairement que le rêve d'Ennin* était un présage de malheur.
[...] De même, si l'on récite Namu Myoho Renge Kyo, le pouvoir de Namu Amida Butsu, le pouvoir des mantra invoquant Vairocana, le pouvoir du bodhisattva Kannon, et le pouvoir de tous les bouddhas, de tous les sutras et de tous les bodhisattvas sans aucune exception s'effacera devant la force de Myoho Renge Kyo.
Traité sur la dette de reconnaissance (Minobu, le 21 juillet 1276, à Joken-bo et Gijo-bo)

Les bodhisattvas Yakuo, Yakujo, Kannon et Seishi, quant à eux, furent les envoyés du Bouddha pour les deux mille ans des époques du Dharma correct et du Dharma formel. Leur mission étant terminée, ils ne sont plus à même de procurer des bienfaits aux êtres humains, comme ils le firent en ces époques lointaines. Observez donc simplement ce qu'il advient lorsqu'on leur offre des prières aujourd'hui  ! Pas la moindre de ces prières n'est exaucée. Maintenant, à notre époque, celle des Derniers jours du Dharma, c'est aux bodhisattvas Jogyo, Muhengyo et aux autres que nous devons nous adresser.
Parvenir directement à la bodhéité grâce au Sutra du Lotus (Minobu, mars 1277 ? à Myoho-ama)

Le chapitre Kanzeon bosatsu* (XXV) est appelé aussi chapitre Fumon. La première partie décrit les mérites de ceux qui ont foi dans le bodhisattva Kanzeon - d'où le titre de chapitre Kanzeon. La dernière partie décrit les mérites de ceux qui pratiquent le Sutra du Lotus comme le fait le bodhisattva Kanzeon - d'où le titre de chapitre Fumon (Porte universelle).
Grandes lignes du chapitre Zokurui et d'autres (Minobu, juin 1278, à Dame Nichinyo)

Parmi ceux qui propagent ce Sutra dans les Derniers jours du Dharma, qui peut se comparer à Shariputra, Mahakashyapa, Kannon, Myoon*, Manjushri et Yakuo  ? Shariputra et Mahakashyapa, personnes des deux véhicules, avaient détruit toutes les illusions de la pensée et du désir, se libérant ainsi des six voies. Les autres, tous bodhisattvas, avaient vaincu les quarante et une illusions. Ils étaient aussi près de la perfection que la lune, à la saison des moissons, la veille de la pleine lune. Néanmoins, le Bouddha Shakyamuni ne voulut confier la mission de propagation à aucune de ces personnes, préférant en donner la responsabilité aux bodhisattvas Surgis-de-Terre. Ces bodhisattvas Surgis de Terre sont donc ceux qui s'étaient forgé une foi inaltérable.
Le général Tigre de pierre (Minobu, 22 octobre 1278 à Shijo Kingo)

Même le prince Shotoku (note), lorsqu'il fit construire l'ancien temple Shitenno-ji, le premier temple bouddhique au Japon, prit pour objet de culte le bouddha Amida accompagné de bodhisattva comme Kannon, en y ajoutant des images des quatre Rois du Ciel. Le Grand-maître* Saicho* fit construire l'Enryaku-ji, mais il fit enchâsser dans le bâtiment principal une image du bouddha Yakushi* du royaume de l'Est comme objet de culte. Il ne prit pas pour objet de vénération le Bouddha Éveillé depuis un passé illimité et ceux qui n'ont jamais cessé depuis lors d'être auprès de lui. Je n'ai jamais entendu parler d'un objet de vénération de ce genre dans aucun des sept temples principaux de Nara ni dans aucun des temples de province.
Sur l'établissement des Quatre Bodhisattvas (Minobu, 17 mai 1279 à Toki Jonin)

De plus, toutes les personnes des deux véhicules, tous les bodhisattvas, le bodhisattva Maitreya dans la cour intérieure du Ciel Tushita, le bodhisattva Jizo sur le Mont Kharadiya, le bodhisattva Kanzeon sur le Mont Potakala, et le bodhisattva Manjushri sur le Mont Shoryo [clair et frais] - chacun d'eux, suivi de son cortège - tous gardent et protègent les pratiquants du Sutra du Lotus, ce qui est déjà assez rassurant. Mais ce n'est pas tout : les bouddhas Shakyamuni, Taho et les bouddhas des dix directions viendront de leur propre gré veiller sur les pratiquants du Sutra du Lotus, à toute heure du jour et de la nuit.
Réponse à la mère du seigneur d'Ueno (Minobu, octobre 1280 à la mère de Nanjo Tokimitsu)

 

 

 

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