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Extraits de gosho sur |
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bonne fortune
- fukuun |
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Réciter
le nom du Bouddha, lire le Sutra, ou simplement offrir des fleurs
ou brûler de l'encens, tous ces actes seront source de bienfaits
et de bonne fortune dans votre propre vie. Avec cette
conviction, mettez votre foi en pratique.
Je fus si ému de tout cela que j’écrivis
cet ouvrage intitulé Traité sur la protection de la
nation pour expliquer clairement en quoi le Senjaku-shu
détruisait le Dharma correct. J’espère que tout le
monde, clergé et laïcs, utilisera cet ouvrage, laissant de
côté les préoccupations mondaines et plantant au contraire
les graines de la bonne fortune pour les kalpas
à venir. Dans le même
sutra, on lit encore : "Quand je regarde les trois
phases, avec les cinq sortes de
vision, je vois que tous les souverains du pays sont parvenus à
la position d'empereur ou de roi parce qu'ils ont servi cinq cents bouddhas
dans des existences passées. Et c'est pourquoi les divers sages
et arhats naissent dans leur pays
et contribuent au bien-être de la société. Mais si
la bonne fortune de ces souverains s'épuise, alors
tous les sages les abandonneront et s'en iront. Quand le Bouddha
Shakyamuni poursuivit la pratique de bodhisattva pendant d'innombrables
kalpas, il acquit peu à peu
quantité de mérites et de bonne fortune.
Il les divisa en soixante-quatre parts dont il ne conserva qu'une seule
pour lui-même. Les soixante-trois autres, il les laissa derrière
lui en ce monde. [...] Quant aux bienfaits
que le Bouddha avait obtenus grâce à ses pratiques, ils les
divisa en trois parties, mais lui-même n'en utilisa que deux. C'est
la raison pour laquelle, alors qu'il aurait pu vivre en ce monde jusqu'à
l'âge de 120 ans, il mourut à 80 ans, nous laissant en héritage
les quarante années restantes. Question
: Je suis né en tant qu'être humain - ce qui est chose rare
- et j'ai eu la bonne fortune de rencontrer le bouddhisme.
Mais il y a des enseignements superficiels et des enseignements profonds,
des personnes de capacités supérieures et des personnes
de capacités moindres. Quels enseignements devrais-je pratiquer
pour atteindre la bodhéité
aussi rapidement que possible ? Réponse : [...]
Quand on a eu la rare bonne fortune de naître en
tant qu'être humain, et la bonne fortune plus grande
encore de rencontrer les enseignements du bouddhisme, comment peut-on
gaspiller cette chance ? Si l'on veut croire en une doctrine digne
de foi, alors, parmi les divers enseignements du Mahayana
et du Hinayana, les doctrines
provisoires et définitives, il faut croire au Véhicule unique,
le véritable but de la venue du Bouddha en ce monde, voie directe
qui mène tous les êtres vivants à l'Éveil Dans le huitième
volume du Sutra du Lotus, au chapitre Darani*
(XXVI), le Bouddha déclare : "Le
seul fait de protéger les personnes qui reçoivent et récitent
le nom du Sutra du Lotus vous procurera une bonne fortune
incommensurable." La pauvreté
règne dans les pays qui suivent les enseignements
antérieurs au Sutra du Lotus, et leurs habitants sont
dans l'état d'avidité.
Mais le Sutra du Lotus est une véritable montagne aux
trésors comblant de bonne fortune les habitants
du pays qui le pratique. On lit dans
le huitième volume du Myoho
Renge Kyo : "La bonne fortune de ceux qui
reçoivent et gardent le nom du Sutra du Lotus est impossible
à évaluer." Il est dit dans le Sho
Hokke Kyo : "Si quelqu'un entend parler de ce Sutra,
proclame et garde respectueusement son Titre, il connaîtra des bienfaits
incommensurables." Et dans le Tembon
Hoke Kyo, on
lit : "Celui qui reçoit et garde le nom du Sutra du Lotus
connaîtra une bonne fortune inappréciable."
Ces passages indiquent que la bonne fortune obtenue simplement en récitant
le Titre est inestimable. "De même
que le Mont Sumeru est la plus haute
de toutes les montagnes, le Sutra du Lotus est le plus élevé
de tous les sutras."(réf.) On y lit
aussi : "La bonne fortune de celui qui croit au Sutra
du Lotus ne peut être ni brûlée par le feu, ni
emportée par l'eau."(réf.) Ce sont sans
doute nos liens karmiques dans un
lointain passé qui ont fait de vous mon disciple à une époque
comme celle-ci. Il y a aussi
ceux qui croient pouvoir acquérir de la bonne fortune
en sacrifiant de nombreux chevaux ou en brûlant herbes et arbres,
ou encore en s'inclinant devant chaque arbre rencontré. Par conséquent,
si le dirigeant commet de mauvaises actions ou des crimes, la première,
la deuxième ou la troisième fois, les divinités s'efforceront
de ne pas le punir. Mais, s'il continue à agir d'une manière
qui déplaît aux dieux du ciel et aux autres divinités,
ceux-ci provoqueront l'apparition de prodiges et d'événements
inhabituels pour le réprimander. Et, s'il va trop loin dans sa
mauvaise conduite, les dieux du ciel et les autres divinités l'abandonneront
et quitteront son pays. Ou, si la bonne fortune acquise
par ce dirigeant en observant les préceptes s'est totalement épuisée,
il est possible que son État tout simplement périsse. Il serait
totalement impossible, j'en suis persuadé, que de grands auditeurs-shravakas,
tels que Shariputra et Maudgalyayana,
abandonnent jamais une personne, quelle qu'elle soit, qui a respecté
l'un des enseignements sacrés
exposés de son vivant par le Bouddha. Mais ils éprouvent
sans doute une certaine rancune envers les divers sutras enseignés
avant le Sutra du Lotus, car on y trouve à leur encontre
quelques remontrances sévères : "Au coeur de l'enseignement
du Bouddha... ils sont comme des graines qui ne pourront plus germer."(réf.) Or, désormais,
ces auditeurs-shravakas sont devenus
des bouddhas du nom de Keko, Myoso, Fumyo, par une bonne fortune
totalement inattendue. Ce fut sans doute pour eux comme si le Mont Kunlun
s'effondrait soudain sous leurs yeux pour leur livrer ses trésors.
C'est pourquoi ils exprimèrent leur gratitude en disant : "Cet
amoncellement de joyaux sans pareil nous a été donné
sans même que nous l'ayons cherché."(réf.) Mais beaucoup
n'ont pas reçu la graine de la bodhéité dans leurs
existences passées et s'accrochent aux conceptions des enseignements
du Hinayana ou du Mahayana
provisoire* ; et même s'ils ont la bonne fortune
de rencontrer le Sutra du Lotus, ils ne peuvent dépasser
leurs vues tirées des enseignements du Hinayana
ou du Mahayana provisoire*. Mais, par
ailleurs, je me réjouis de la bonne fortune qui
m'a permis de naître dans la cinquième
période de cinq cents ans et de lire ces mots du Bouddha. Il
aurait été du reste inutile que je naisse du vivant du Bouddha,
car ceux qui ont suivi les enseignements des quatre
saveurs inférieures n'avaient pas encore entendu le Sutra
du Lotus. Le pratiquant
né à l'époque des Derniers
jours du Dharma qui propage le Sutra du Lotus rencontrera
les Trois grands ennemis, qui provoqueront
son exil et même sa condamnation à mort. Pourtant, le Bouddha
Shakyamuni couvrira du manteau de sa bienveillance ceux qui persévéreront
dans la propagation. Toutes les divinités
leur feront des offrandes, les
épauleront et les porteront sur leur dos. Ils possèdent
la bonne fortune suprême et pourront servir de
guides à tous les êtres humains. Il est écrit
que ceux qui gardent le Titre du Sutra du Lotus seront protégés
par Kishimojin et ses dix
filles. Ils bénéficieront du bonheur d'Aizen
et de la bonne fortune de Bishamon. Il est dit
dans le Sutra : "Même s'ils tombent dans un grand
feu, ils ne seront pas brûlés... Si une inondation les emporte,
en récitant le Titre, ils
parviendront immédiatement dans des eaux peu profondes."(réf.) On y lit encore : "La bonne fortune du pratiquant
ne peut être ni consumée par le feu, ni emportée par
l'eau."(réf.) Prenez Saemon
pour maître, et laissez-le vous guider dans la foi du Sutra
du Lotus. La malchance de votre trente-troisième année
se changera en bonne fortune de votre trente-troisième
année. C'est ce que signifie le passage "les sept
difficultés disparaissent et les sept bienfaits apparaissent
immédiatement."(réf.)
Vous rajeunirez et votre bonne fortune grandira. Aucun sabre
ne peut couper l'air, aucun feu ne peut brûler l'eau. Aucun feu
ne peut non plus détruire les saints, les personnes de mérite,
ni celles qui sont dotées de bonne fortune ou
de sagesse. Il est dit
encore, au chapitre Hosshi* (X),
dans le quatrième volume du Sutra du Lotus : "Si
une personne recherche la voie du Bouddha / et pendant toute la durée
d'un kalpa / [joint les mains en
(sa) présence et récite d'innombrables vers élogieux
/ ces éloges du Bouddha lui vaudront d'incommensurables bienfaits.]
Et ceux qui font l'éloge et défendent les pratiquants de
ce Sutra obtiendront une bonne fortune encore plus grande." Il est dit,
dans le quatrième volume du Sutra du Lotus, au chapitre
Hosshi* (X)
: "La personne qui cherche la Voie du Bouddha et qui, pendant un
kalpa, joignant les mains devant
moi, récitera d'innombrables stances à ma louange, parce
qu'elle aura ainsi fait l'éloge du Bouddha, obtiendra des bienfaits incommensurables. Mais la bonne fortune qu'obtiendront
ceux qui louent et honorent les pratiquants de ce Sutra sera
plus grande encore." En général,
un fils a pour devoir d'obéir à ses parents ; mais, sur le
chemin de la bodhéité, ne pas suivre ses parents peut,
en définitive, être pour eux source de bonne fortune.
Le Sutra Shinjikan
définit l'essence de la piété filiale ainsi : "En
renonçant à ses obligations et en entrant dans le nirvana,
on peut véritablement s'acquitter de l'ensemble de ces obligations."
Ce qui veut dire que, pour entrer dans la voie
bouddhique, on quitte sa maison, même contre le souhait de ses
parents, afin d'atteindre la bodhéité. Mes disciples,
sachez que moi, Nichiren, je suis le Pratiquant du Sutra du Lotus.
Puisque je suis le continuateur du bodhisattva Fukyo,
ceux qui me méprisent et me calomnient
auront la tête brisée en
sept morceaux, alors que ceux qui croient en moi accumuleront une
bonne fortune aussi haute que le Mont Sumeru. On lit dans
le huitième volume du Sutra du Lotus : "Ses souhaits
ne resteront pas sans réponse, et il obtiendra en rétribution
la bonne fortune en cette vie même."(réf.)
On y lit aussi : "En
vérité, il obtiendra des rétributions visibles dans
sa vie présente."(réf.)
A propos des
Trois Corps du Bouddha, il est dit
dans le Sutra Fugen : "Les trois propriétés
illuminées de la vie du Bouddha découlent des sutras du
Mahayana. Ce sceau
du Dharma permet de pénétrer
dans l'océan du nirvana.
C'est de ce vaste océan que naissent les trois
sortes de Corps purs d'un bouddha. Ces trois
propriétés sont le champ fertile de la bonne
fortune pour tous les êtres, humains aussi bien que célestes,
et représentent ce qui est le plus digne
de recevoir des offrandes." Le Grand-maître
Zhiyi enseigna le Sutra du Lotus,
et les commentaires qu'il en fait le placent très au-dessus de
tous les autres maîtres ; dans toute la Chine, il n'a pas son pareil.
Il est clair qu'il est l'envoyé du Bouddha. Ceux qui feront son
éloge accumuleront une bonne fortune aussi haute
que le Mont Sumeru, tandis que ceux
qui le calomnieront commettront
une faute qui les précipitera dans l'enfer avici." Zhanlan
écrivit : "Ceux qui humilient ou font souffrir [les pratiquants
du Sutra du Lotus] auront la tête
brisée en sept morceaux, tandis que ceux qui leur font des
dons goûteront une bonne fortune supérieure
aux dix titres honorables."(réf.)
[...] Et si les bienfaits
doivent être de la même importance que les rétributions
négatives, alors il ne fait aucun doute que mes disciples jouiront
d'une bonne fortune supérieure aux dix
titres honorables. Le prince
Shotoku déclara : "Ceux
qui, à l'époque des Derniers
jours du Dharma, vénéreront l'image du Bouddha Shakyamuni,
le sage des pays de l'Ouest, pourront écarter les calamités,
et accumuleront de la bonne fortune. Ceux qui la mépriseront
provoqueront des désastres,
et leur vie sera écourtée." Tout d'abord,
c'est une source exceptionnelle de bonne fortune que
de poser, comme vous le faites, une question sur le Sutra du Lotus.
En cette époque des Derniers jours
du Dharma, ceux qui s'enquièrent du sens, ne serait-ce que
d'une phrase ou d'un vers du Sutra du Lotus, sont encore moins
nombreux que ceux qui pourraient lancer le grand Mont Sumeru
sur une autre planète comme un simple caillou ; ou qui, d'un coup
de pied, pourraient envoyer au loin la galaxie entière comme un
ballon. Inutile de
vous précipiter. Forgez plutôt une unité solide avec
les autres croyants et laissez les ennemis du Dharma faire tout le tapage
qu'ils veulent. Ensuite, si vous envoyez cette pétition, la nouvelle
s'en répandra peut-être dans tout Kamakura
et il se peut même qu'elle parvienne jusqu'aux oreilles du shogun.
C'est ce que l'on appelle un malheur qui se transforme en bonne
fortune. Continuez
votre pratique du Sutra du Lotus comme je vous l'enseigne depuis
longtemps. Des circonstances favorables annoncent peut-être de petits
événements heureux, mais de graves bouleversements annoncent
immanquablement que le désastre se changera en bonne fortune.
Moi, Nichiren,
j'ai eu la chance insigne de naître sous forme humaine et j'ai pu
rencontrer le bouddhisme qu'il est rare de rencontrer. Et, parmi tous
les enseignements bouddhiques, j'ai rencontré le Sutra du Lotus.
Lorsque je pense aux raisons de ma bonne fortune, je
prends conscience de ma dette de reconnaissance envers mes parents, envers
le souverain et envers tous les êtres vivants. Le Grand-maître
Zhanlan déclare, dans son
commentaire : "Ceux qui font des offrandes [au Pratiquant du Sutra
du Lotus] obtiendront une bonne fortune plus grande
que celle des dix titres honorables,
tandis que ceux qui [lui] créent des troubles auront la ête
brisée en sept morceaux." Le
malheur sort de la bouche d'une personne et la détruit, mais la
bonne fortune vient de son esprit et la rend digne de
respect. La sincérité des offrandes
que l'on fait au Sutra du Lotus au commencement de la nouvelle
année est semblable aux fleurs qui s'épanouissent sur les
arbres, au lotus qui s'ouvre sur un étang, au santal qui fleurit
dans les Montagnes neigeuses,
ou à la lune qui se lève. En devenant l'ennemi du Sutra
du Lotus, le Japon s'attire aujourd'hui des malheurs de mille lieues
à la ronde, alors que ceux qui croient au Sutra du Lotus
attireront la bonne fortune de dix mille lieues alentour. Et même
si l'on a la bonne fortune de rencontrer le. Sutra
du Lotus, il faut savoir qu'il est encore plus difficile de rencontrer
le daimoku du Dharma Merveilleux,
et de le réciter. Mais, peut-être
en raison d'une erreur commise dans l'exercice du pouvoir, ou parce que
la bonne fortune de son karma
était épuisée, les cygnes blancs, par milliers et
dizaines de milliers, disparurent soudain, et les très nombreux
chevaux blancs cessèrent de hennir. Lorsqu'il cessa d'entendre
le hennissement des chevaux blancs, le roi devint semblable à une
fleur qui se fane, ou à la lune au moment d'une éclipse. Si une personne
est parvenue au bout de sa bonne fortune, aucune stratégie
ne sert plus à rien. Et quand ses bienfaits
sont épuisés, même ses serviteurs ne lui obéissent
plus. Si vous avez survécu, c'est parce que vous possédez
encore de la bonne fortune. Une seule
vie a plus de valeur que l'univers. Vous avez encore de nombreuses années
devant vous et, de surcroît, vous avez rencontré le Sutra
du Lotus. Si vous vivez ne serait-ce qu'un jour de plus, c'est autant
de bonne fortune supplémentaire que vous pourrez
accumuler. Pour avoir
offert quatre bols au Bouddha, on dit que Bishamon
est celui des quatre Rois du Ciel
dont la bonne fortune est la plus grande au monde. Vimaladatta*,
parce qu'elle fit don de 84000 bols au bouddha Unraionno,
renaquit par la suite sous la forme du bodhisattva Myoon*.
Zhanlan
a dit : "Bien que ces quatre étapes soient distinctes, elles
découlent toutes du Dharma. Si l'on compare la bonne fortune
de tous les êtres vivants dans les neuf
mondes-états à celle du Bouddha, elle paraît aussi
légère qu'un cheveu, alors que la bonne fortune
du Bouddha a le poids d'une énorme montagne. Et la bonne
fortune de tous les bouddhas est aussi légère que
la robe de Bonten, pas plus lourde
que trois plumes (note),
tandis que la bonne fortune d'un seul caractère
du Sutra du Lotus a, elle, autant de poids que la terre entière.
La personne, dans l'expression "la personne est de moindre importance",
est le Bouddha ; et "le Dharma qui est suprême"»
est le Sutra du Lotus. le Dharma
bouddhique est comme le corps, la société comme son ombre.
Si le corps est déformé, son ombre l'est aussi. Quelle grande
bonne fortune, pour moi et mes disciples qui obéissons
au véritable voeu du Bouddha, de pouvoir pénétrer
naturellement dans l'océan de la sagesse infinie ! Comme vous
le savez, un des sutras relate l'histoire de Tokusho
Doji qui offrit un pâté de sable au Bouddha et renaquit
ensuite sous la forme du roi Ashoka
qui gouverna une grande partie de l'Inde. Parce que le Bouddha est digne
de respect, l'enfant obtint cette grande récompense pour un simple
pâté de sable. Pourtant, le Bouddha Shakyamuni enseigne que
celui qui fait, ne serait-ce qu'un seul jour, des offrandes au Pratiquant
du Sutra du Lotus à l'époque
des Dernier Jours du Dharma, obtiendra une bonne fortune
incomparablement plus grande que s'il avait offert d'innombrables trésors
au Bouddha pendant cent mille kalpas.
Les racines
de la bonne fortune ne dépendent pas de l'importance
des offrandes, grandes ou petites.
Elles diffèrent considérablement selon les pays, les personnes
et le temps. Ceux qui,
par leurs dons, soutiennent le Pratiquant du Sutra du Lotus recevront
les mêmes bienfaits qu'ils
auraient obtenu en faisant des offrandes
au Sutra lui-même. Le Grand-maître Saicho
écrivit dans un commentaire : "Ceux qui feront son éloge accumuleront une bonne
fortune aussi haute que le Mont Sumeru, et ceux qui le calomnieront
tomberont dans l'enfer avici."
(note) |
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voir également : bienfaits et hendoku iaku | |||