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        Nichiren 
        appelle Savant-maître : 
      Amoghavajra* 
        La 
        question à approfondir jour et nuit (Minobu,  
        28 août 1275  ? ,  Toki Jonin) 
        Traité 
        sur la dette de reconnaissance (Minobu,  
        le 21 juillet 1276,  à Joken-bo et Gijo-bo) 
        Lettre 
        à Shomitsu-bo (Minobu,  
        1277 à Shomitsu-bo)  
      An'ne* 
        Le principe de 
        l'atteinte de la bodhéité sans changer d'apparence 
        (Minobu,  
        en 1280   ? ,  à Myoichinyo)  
      Annen 
        Le principe de l'atteinte 
        de la bodhéité sans changer d'apparence 
        (Minobu,  
        en 1280   ? ,  à Myoichinyo)  
      Badhrarushi 
        Le choix 
        en fonction du temps (Minobu,  10 juin 1275 ; adressé à Yui  
      Dharmakshema 
        Le choix en fonction 
        du temps (Minobu,  10 juin 1275 ; adressé 
        à Yui 
        Traité 
        sur la dette de reconnaissance (Minobu,  
        le 21 juillet 1276,  à Joken-bo et Gijo-bo)  
      Fadao 
        L'exil de Sado (Echi,  
        octobre 1271,  à un moine nommé Enjo-bo du temple Seicho-ji) 
        La 
        voix pure et portant loin (Sado 
        - Ichinosawa,  septembre 1272,  à Shijo Kingo)  
        Lettre 
        de pétition de Yorimoto (Minobu,  
        le 25 juin 1277,  requête au seigneur Ema au nom de Shijo Kingo)  
        Traité 
        sur la dette de reconnaissance (Minobu,  
        le 21 juillet 1276,  à Joken-bo et Gijo-bo)  
      Gonso 
         
        Questions 
        - réponses concernant l’objet de vénération        (Minobu,  septembre 
        1278        à 
        Joken-bo) 
      Hui-guo 
         
        Le 
        principe de l'atteinte de la bodhéité sans changer d'apparence 
        (Minobu,  
        en 1280   ? ,  à Myoichinyo)   
      Kumarajiva 
        Conversation 
        entre un sage et un ignorant (1265  ? à un samouraï  ? ) 
        Réponse 
        à Dame Myoichi (Minobu,  mai 1275 
        à Myoichi)         
        Le choix en fonction 
        du temps (Minobu,  10 juin 1275 ; adressé 
        à Yui) 
        La 
        suprématie du Dharma (Minobu,  
        4 août 1275,  à Oto,  fille de Nichimyo)  
         
        Traité 
        sur la dette de reconnaissance (Minobu,  
        le 21 juillet 1276,  à Joken-bo et Gijo-bo) 
      Prajna 
         (Jin Banruo) 
        Le choix en fonction 
        du temps (Minobu,  10 juin 1275 ; adressé 
        à Yui  
      Shubhakarasimha 
        (Chan-wu-wei) 
        Le 
        savant maître Chan-wou-wei (Kamakura,  
        1270 à Joken-bo et Gijo-bo) 
        Le choix 
        en fonction du temps (Minobu,  10 juin 1275 ; adressé à Yui)  
        Traité 
        sur la dette de reconnaissance (Minobu,  
        le 21 juillet 1276,  à Joken-bo et Gijo-bo) 
        Lettre à Shomitsu-bo 
        (Minobu,  1277 
        à Shomitsu-bo)  
      Shunxiao 
        Le principe de l'atteinte 
        de la bodhéité sans changer d'apparence 
        (Minobu,  
        en 1280   ? ,  à Myoichinyo)  
      Vajrabodhi 
        (Jin-gang-tzi) 
        La voix pure et 
        portant loin (Sado 
        - Ichinosawa,  septembre 1272,  à Shijo Kingo) 
         
        Le choix en fonction 
        du temps (Minobu,  10 juin 1275 ; adressé 
        à Yui)   
      Vimalamitra* 
        Lettre à Akimoto (Minobu,  
        le 27 janvier 1280,  à Akimoto) 
         
        Le 
        choix en fonction du temps (Minobu,  10 
        juin 1275 ; adressé à Yui  
      Xuanzang 
         
        La 
        voix pure et portant loin (Sado 
        - Ichinosawa,  septembre 1272,  à Shijo Kingo)         
        Le 
        choix en fonction du temps (Minobu,  10 
        juin 1275 ; adressé à Yui)   
        La 
        question à approfondir jour et nuit (Minobu,  
        28 août 1275  ? ,  Toki Jonin) 
        Traité 
        sur la dette de reconnaissance (Minobu,  
        le 21 juillet 1276,  à Joken-bo et Gijo-bo) 
         
          
      *** 
      Les Savants-maîtres du Tendai 
        d’aujourd’hui pensent également être les seuls 
        à avoir maîtrisé la doctrine d'ichinen 
        sanzen. Mais ils considèrent que le Sutra 
        du Lotus est égal au Sutra 
        Kegon* 
        ou au  Sutra 
        Vairocana*. Lorsqu’ils 
        développent leurs théories,  ils ne vont pas au-delà 
        de la vision de Cheng Guan. Ils sont comme 
        Shubhakarasimha* 
        et Amoghavajra*. 
         
        L’ouverture 
        des yeux des images sculptées ou peintes 
        (Kamakura 1264)    
      Le 
        savant maître Chan-wou-wei (Kamakura,  1270 à Joken-bo et Gijo-bo) 
      Pendant les 
        plus de deux mille deux cents vingt ans écoulés depuis la 
        disparition du Bouddha,  les maladies des hommes,  c'est-à-dire leurs illusions et leur karma négatif,  étaient sans gravité. Et il a donc suffi 
        qu'apparaisse une succession de Savants-maîtres qui,  tels des médecins,  ont dispensé les remèdes 
        appropriés pour ces maladies. Ces maîtres étaient 
        issus des écoles Kusha,  Jojitsu,  
        Ritsu,  Hosso,  
        Sanron,  Shingon,  
        Kegon,  Tendai,  
        Jodo et Zen. 
        Chacune de ces écoles prescrit 
        son propre médicament.  
        [...] Les fautes des moines qui observent les préceptes sont pires 
        que celles des moines qui les transgressent,  et celles des Savants-maîtres pires encore. Des moines de ce genre sont comparables,  à ceux qui,  
        parmi les lépreux,  sont atteints de lèpre blanche,  et,  parmi 
        ces derniers,  aux plus gravement atteints de tous.  
        Le don du mandala 
        du Dharma Merveilleux (Sado,  
        1273 à Sennichi-ama) 
      Quelle tristesse 
        que les Savants-maîtres du Kegon,  
        du Shingon,  du Hosso,  
        perdent leur temps en vain et s’écartent de la doctrine de 
        l’Éveil dès ce corps. 
        Réponse 
        à Dame Myoichi (Minobu,  mai 1275 
        à Myoichi)         
      Mais les moines 
          Zen,  qui ne sont qu'une racaille inculte,  
        n'ont même pas assez d'intelligence pour distinguer le noir du blanc. 
        Ils arborent maintenant de somptueuses robes de moines et sont devenus 
        d'une telle arrogance qu'ils dénigrent les Savants-maîtres vertueux des écoles Tendai 
        et Shingon.  
        Lettre à Niike 
        (Minobu,  
    février 1280 à Niike Saemon no jo)  |