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       Extraits de gosho sur  | 
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        Il [Honen] qualifie tous les moines sages des trois pays (note),  
        ainsi que tous les disciples des bouddhas 
        des dix directions,  de bande de brigands et les insulte.   Les gens 
        qui habitent notre monde ont été rejetés des Terres 
        pures des dix directions. 
        Ils ont commis les dix mauvaises 
        actions,  ou les cinq forfaits,  calomnié les 
        personnes de mérite et les sages,  manqué à leur devoir 
        envers leur père et leur mère,  et n'ont pas respecté 
        les moines. Pour toutes ces offenses,  après être tombés 
        pour d'innombrables kalpas dans les 
        trois voies mauvaises,  ils 
        renaissent en ce monde saha. Et,  dans les 
        sutras Hannya*,  
        nous lisons que les personnes qui ont commis les cinq forfaits 
        peuvent atteindre la bodhéité,  mais que les personnes des 
        deux véhicules sont considérées 
        comme en étant incapables. Même en ayant commis les cinq 
        forfaits,  les dix 
        mauvaises actions,  ou d'innombrables autres méfaits,  certaines 
        personnes peuvent atteindre la bodhéité si elles ont des 
        capacités supérieures. Devadatta 
        et Angulimala en sont l'exemple. 
         Il n'est pas concevable qu'un homme ou une femme ayant 
        récité ne serait-ce qu'un seul mot du Sutra du Lotus 
        puissent tomber dans les voies mauvaises 
        pour avoir commis les dix 
        mauvaises actions,  les cinq 
        forfaits,  les quatre 
        transgressions majeures ou d'innombrables autres graves méfaits. 
        Même si le soleil et la lune cessaient de se lever à l'est,  
        même si la terre entière chavirait,  même s'il n'y avait 
        plus ni flux ni reflux dans les marées de l'immense océan,  
        même si une pierre brisée en morceaux parvenait à 
        se reconstituer,  ou même si les cours d'eau et les rivières 
        cessaient de se jeter dans la mer,  quelles que soient les fautes qu'elle 
        ait pu commettre en ce monde,  il serait impossible qu'une femme qui a 
        foi dans le Sutra du Lotus sombre dans les voies mauvaises. L'ignorant 
        répondit : "En vérité,  il faudrait avoir honte 
        de ce qui est mesquin,  et aspirer à ce qui est grand,  abandonner 
        le superficiel pour adhérer à ce qui est profond. Cela n'est 
        pas seulement un principe bouddhique,  mais également une règle 
        valable dans le monde profane. Par conséquent,  je voudrais sans 
        délai me convertir à cette école dont vous venez 
        de parler. S'il vous plaît,  instruisez-moi de ses principes plus 
        en détail. Vous dites que même ceux qui ont commis les cinq 
        forfaits et les dix 
        actions mauvaises ne sont pas exclus du voeu bienveillant du Bouddha. 
        Puis-je vous demander en quoi consistent les cinq forfaits 
        et les dix actions mauvaises  ? [...] Le croyant laïque avisé répondit : "Les cinq 
        forfaits sont  : tuer son père,  tuer sa mère,  tuer 
        un arhat,  verser le sang d'un bouddha,  et rompre l'unité de la 
        communauté bouddhique. Quant aux dix actions mauvaises,  elles consistent 
        en trois actions corporelles,  quatre actions verbales et trois actions 
        mentales. Les trois actions corporelles sont tuer,  voler et avoir des 
        relations sexuelles illégitimes. Les quatre mauvaises actions verbales 
        sont mentir,  flatter,  diffamer,  et tromper. Les trois mauvaises actions 
        mentales sont l'avidité,  l'orgueil et l'ignorance. Les divers 
        autres sutras peuvent bien proclamer qu'un seul caractère ou une 
        seule strophe des textes qui les composent ou que les Dix méditations 
        ont le pouvoir de sauver ceux qui subissent les rétributions négatives 
        dues aux dix mauvaises actions 
        ou aux cinq forfaits - ces bienfaits sont encore inférieurs 
        à ceux qu'obtient même la cinquantième personne à 
        se réjouir d'entendre ne serait-ce qu'un seul caractère 
        ou une seule strophe du Sutra du Lotus.  Lorsque le 
        prince héritier Ajatashatru 
        eut bel et bien tué son père,  Devadatta 
        guetta les déplacements du Bouddha et avec une grosse pierre réussit 
        à le blesser et à faire couler son sang. De plus,  il battit 
        à mort la nonne Utpalavarna 
        qui était parvenue au stade d'arhat. 
        Il commit ainsi trois des cinq forfaits.  Ceux qui 
        se trompent sur ces points tomberont dans des conceptions erronées 
        et même s'ils pratiquent le bouddhisme,  leur offense est plus grave 
        que les dix mauvaises actions 
        ou les cinq forfaits. C'est pourquoi ceux qui préfèrent 
        au monde profane la recherche de la Voie 
        bouddhique devraient avant tout bien comprendre [ces critères 
        d'évaluation].  Ce monde Saha est le plus bas de tous les mondes des 
        dix directions. Par rapport 
        à tous ces mondes sa position est comparable à celle d'une 
        prison dans un pays. Tous ceux qui,  dans tous les mondes des dix 
        directions,  ont commis l'une ou l'autre des dix 
        mauvaises actions,  des cinq 
        forfaits,  qui ont commis la lourde offense 
        de s'opposer au Dharma correct ou d'autres crimes graves et qui ont été 
        chassés de ces mondes par les divers bouddhas,  ont été 
        rassemblés ici,  sur cette terre Saha,  
        par le Bouddha Shakyamuni. Ces gens,  ayant expié leurs crimes après 
        être tombés dans les trois 
        mauvaises voies et dans l'enfer avici,  ont pu renaître 
        dans les mondes des Hommes et le 
        monde du Ciel. Mais,  parce que certains 
        vestiges de leurs crimes demeurent,  ils sont facilement enclins à 
        dénigrer le Dharma correct et à parler avec mépris 
        de personnes de sagesse,  commettant ainsi de nouvelles offenses au Dharma. 
        Mais un jour,  subitement,  le savant maître mourut. Et de nombreux 
        gardiens de l'enfer apparurent,  le ligotèrent avec sept chaînes 
        de fer et le conduisirent au palais du roi. N'est-ce pas là une 
        grande source d'étonnement  ? [...] Quel crime avait-il bien pu commettre pour recevoir une telle punition  ? Peut-être dans la vie qu'il venait de vivre avait-il commis certaines 
        des dix mauvaises actions,  mais 
        il ne s'était certainement rendu coupable d'aucune des cinq 
        forfaits. Et en réfléchissant à ses 
        existences passées,  pour être né fils de roi,  prince 
        héritier d'un grand royaume,  il devait avoir strictement observé 
        les dix préceptes de bien 
        et loyalement servi cinq cents bouddhas. Quelle faute,  alors,  pouvait-il 
        avoir commise  ?   Même 
        une personne qui a commis les cinq forfaits et qui se 
        trouve dans l'enfer avici 
        peut conserver le désir de devenir bouddha,  c'est cela la graine 
        de la bodhéité.  Moi seul,  
        Nichiren,  je me distingue des autres en soulignant que le bouddha Amida,  
        dans son voeu originel,  exprima le désir de sauver tout le monde 
        "à l'exception de ceux qui commettent les cinq forfaits 
        ou qui calomnient le véritable 
        Dharma." 
        (note) Et je fais également remarquer 
        que,  selon le Sutra du Lotus,  "celui qui refuse d'avoir 
        foi en ce Sutra,  et au contraire s'y oppose,  détruit immédiatement 
        les graines qui permettent d'atteindre la bodhéité en ce 
        monde  Il [Devadatta] 
        fit forger une roue en fer à mille rayons,  pour se la faire imprimer 
        sur la plante des pieds ; il ramassa des lucioles pour former une touffe 
        de poils blancs entre ses sourcils,  et se contraignit à mémoriser 
        soixante mille et quatre-vingt mille enseignements précieux. Il 
        établit un kaidan d'ordination au Mont Gayashirsha 
        et persuada de nombreux disciples du Bouddha de le rejoindre. Il s'enduisit 
        les ongles des doigts de pieds de poison et tenta de griffer ainsi les 
        pieds du Bouddha. Il tua,  en la rouant de coups,  la nonne Utpalavarna. 
        Il fit débouler un énorme rocher sur le Bouddha et le blessa 
        à l'orteil. Il se rendit coupable de trois des cinq forfaits,  
        et pour finir rassembla autour de lui toutes les personnes mauvaises des 
        cinq régions de l'Inde,  
        en s'efforçant de nuire au Bouddha,  ainsi qu'à ses disciples 
        et bienfaiteurs laïques.  Il y a de 
        graves fautes de toutes sortes : les dix 
        mauvaises actions,  les quatre 
        transgressions majeures,  les six 
        fautes principales,  les huit 
        fautes majeures,  les dix fautes 
        majeures,  les cinq forfaits condamnant à l'enfer avici,  ainsi que l'opposition 
        au Dharma correct et l'incroyance 
        incorrigible. Il se pourrait que l'accumulation de toutes ces fautes,  
        depuis le passé illimité,  dépasse encore le plus 
        haut sommet de montagne,  et creuse un abîme encore plus profond 
        que le grand océan. Un seul des cinq forfaits 
        condamne déjà ceux qui le commettent à demeurer dans 
        l'enfer avici 
        pendant toute la durée d'un kalpa. 
         Des bodhisattvas 
        d'une grande bienveillance,  s'ils font des dons aux ennemis du Sutra 
        du Lotus,  tomberont inévitablement dans l'enfer avici. Mais,  à l'inverse,  
        même des personnes ayant commis les cinq forfaits,  
        si elle haïssent ces ennemis du Sutra du Lotus,  renaîtront 
        immanquablement dans les mondes-états 
        des Hommes ou du Ciel. 
         Ceux qui avaient 
        la capacité de parvenir à la bodhéité grâce 
        aux enseignements du Mahayana provisoire* 
        ou  définitif (jitsudaijo) 
        ont depuis longtemps disparu. A notre époque mauvaise et impure 
        des Derniers jours du Dharma,  tous 
        s'opposent au Dharma et commettent les cinq forfaits. 
        Chez des personnes de ce genre,  il faut planter pour la première 
        fois la graine de la bodhéité grâce à Namu 
        Myoho Renge Kyo,  principe caché dans les profondeurs du chapitre 
        Juryo* 
        (XVI) coeur de l'enseignement 
        essentiel*. De même,  en lisant ou récitant un sutra,  
        si l’on confond l’ordre et la profondeur comparative des enseignements 
        du Bouddha,  en commençant par le 
        Sutra  
        Kegon*,  
        enseigné en premier sur le lieu 
        de l'Éveil,  jusqu’au Sutra 
        du Nirvana,  exposé en dernier dans le bosquet 
        de sala,  on tombera alors inévitablement dans l’enfer 
        avici sans même avoir commis 
        les cinq forfaits. 
         Et pourtant,  
        il suffit que Devadatta,  un être 
        humain guère plus haut que cinq pieds,  commette trois des cinq 
        forfaits pour que la terre immense s'ouvre sous ses pieds et 
        pour qu'il tombe en enfer.  Et ces personnes 
        déloyales ne sont pas seulement une ou deux,  cent ou mille ; ce 
        ne sont pas seulement les habitants d'une ou deux provinces. Du souverain 
        jusqu'aux personnes de condition modeste,  tous,  dans le Japon entier,  
        sans la moindre exception,  commettent les trois plus graves des cinq 
        forfaits  !  Si l'on en 
        croit les textes bouddhiques,  pourtant,  même ceux qui ont commis 
        les cinq forfaits peuvent être sauvés,  de 
        même que les personnes qui transgressent les lois de la piété 
        filiale. Seuls les icchantika,  
        ceux qui s'opposent au Dharma et ceux qui se donnent l'apparence de garder 
        les préceptes tout en se croyant supérieurs aux autres ne 
        peuvent pas être pardonnés. Le bodhisattva 
        Nagarjuna déclare dans 
        son Bodai Shiryo Ron* 
          : "L'Honoré du monde a énuméré 
        cinq causes [cinq forfaits] 
        conduisant à l'enfer avici. 
        [...] Mais si,  devant le Dharma profond que l'on n'a pas encore appréhendé,  
        on reste attaché à des enseignements inférieurs,  
        en déclarant que ce grand Dharma n'est pas l'enseignement du Bouddha,  
        on commet un crime encore cent fois plus grave que la totalité 
        des fautes résultant des cinq 
        causes mentionnées plus haut." Le Sutra 
        du Nirvana dit que "Il y a trois types de personnes dont 
        la maladie est extrêmement difficile à guérir. Ce 
        sont : 1. Ceux qui s'opposent au bouddhisme mahayana 
        2. Ceux qui commettent les cinq forfaits 3. Les icchantika. 
        Ces trois catégories de personnes souffrent des pires maladies 
        connues." Ceux qui commettent 
        les dix mauvaises actions 
        tombent dans l'enfer de tokatsu ou kojujo,  et ils doivent y passer cinq 
        cents vies ou mille "années-enfer". Ceux qui commettent 
        les cinq forfaits tombent dans l'enfer avici et,  après y être 
        restés pendant un kalpa moyen,  
        renaissent en ce monde. Ajatashatru 
        se rendit auprès du Bouddha et lui demanda : "Chaque année,  
        mon pays subit graves sécheresses,  ouragans,  inondations,  famines,  
        épidémies. De plus,  nous avons été attaqués 
        par un pays étranger. Pourquoi tant de calamités,  alors 
        que c'est pourtant dans ce pays que le Bouddha est né  ? Le 
        Bouddha répondit : "Magnifique,  magnifique,  Grand Roi  ! Comme 
        il est admirable que vous posiez cette question  ! Mais vous avez commis 
        plusieurs forfaits. Vous avez tué votre père 
        et,  prenant Devadatta pour maître,  
        vous m'avez maltraité. Ce sont deux fautes très graves,  
        voilà pourquoi de telles calamités s'abattent sur votre 
        pays." Dans la cité 
        de Varanasi,  vécut un homme 
        extrêmement mauvais du nom d'Ajita. 
        Il était tombé amoureux de sa propre mère et,  pour 
        faire d'elle sa femme,  il avait tué son père. Quand un arhat,  
        qui avait été le maître de son père,  lui fit 
        des remontrances,  il tua cet arhat,  
        et quand sa mère voulut prendre un autre homme pour mari,  il tua 
        cet homme et sa mère aussi. Ainsi,  il avait commis trois des cinq 
        forfaits. Honni par tous ceux qui l'entouraient,  il n'avait plus 
        nulle part où aller. Il se rendit donc au monastère de Jetavana 
        et demanda à être admis dans le Sangha,  
        mais les moines ne voulurent pas de lui. Le mal,  dans son coeur,  devint 
        encore plus envahissant,  et il mit le feu à de nombreux monastères. 
        Mais,  pour finir,  il rencontra le Bouddha Shakyamuni qui l'autorisa à 
        devenir moine.  Le Bouddha 
        Skakyamuni déclare dans le Sutra 
        Hometsujin : "Lorsque j'aurai accédé au nirvana,  
        dans la période troublée où les cinq forfaits 
        prédomineront,  la voie du Démon sera prospère. Le 
        Démon apparaîtra sous la forme de moines bouddhistes et tentera 
        d'obscurcir et de détruire mes enseignements. Or le roi 
        Ajatashatru avait tué son 
        père,  roi sage et bienfaiteur du Bouddha. Pis encore,  il avait 
        pris Devadatta pour maître. 
        Devadatta commit trois des cinq 
        forfaits,  le pire d'entre eux étant de blesser le Bouddha 
        et de faire couler son sang. En s'alliant à cet ennemi du bouddhisme,  
        le roi incroyant et mauvais aggrava les terribles maux causés à 
        l'humanité. Ce n'est pas seulement pendant un an ou deux,  mais 
        pendant plusieurs décennies,  qu'il persécuta sans cesse 
        le Bouddha,  tuant un grand nombre de ses disciples.  Sur la montagne 
        aux Trésors,  les arbres tordus sont arrachés et,  dans le 
        grand océan,  les cadavres ne peuvent demeurer. La montagne aux 
        Trésors de l'enseignement suprême peut conserver cailloux 
        et débris de tuiles - ceux qui ont commis les cinq forfaits 
        - mais pas ces arbres tordus que sont les icchantika 
        (hommes d'une incroyance incorrigible). Apporter son 
        soutien aux moines du Tendai,  
        du Shingon et d'autres écoles 
        d'aujourd'hui peut sembler une action méritoire,  mais c'est en 
        réalité un acte extrêmement mauvais,  pire encore que 
        les cinq forfaits et les dix 
        mauvaises actions. De plus,  que 
        disait le Bouddha des personnes des deux 
        véhicules qui,  n'ayant plus à renaître dans le 
        monde des trois plans,  ne pouvaient 
        pas tomber dans les mauvaises voies  ? Qu'il valait mieux avoir l'esprit 
        d'un chien ou d'un renard yakkan que d'avoir celui d'une personne des 
        deux véhicules. Il avertissait 
        aussi qu'il était préférable de commettre les cinq 
        forfaits ou les dix 
        mauvaises actions et de tomber en enfer 
        plutôt que d'avoir l'esprit des deux 
        véhicules.  Réciter 
        le nom du bouddha Amida est la cause 
        qui la fera tomber dans l'enfer avici. Cette invocation ne fait 
        pas partie des cinq forfaits,  mais elle est encore plus 
        grave. Assassiner son père et sa mère détruit leur 
        corps physique mais ne les condamne pas à l'enfer avici dans leur vie prochaine. 
        [...] En restant attaché au peu de bien que procure la récitation 
        du nom d'Amida,  on se prive du bien 
        suprême qu'est la pratique du Sutra du Lotus. Ainsi,  ce 
        bien mineur du Nembutsu a des 
        conséquences encore plus graves que les cinq forfaits. Parmi toutes 
        les maladies,  les cinq forfaits,  l'incroyance incorrigible 
        des icchantika et l'opposition 
        au Dharma sont des maladies graves qui désolent particulièrement 
        le Bouddha. De nos jours,  tous les Japonais,  sans exception,  sont affligés 
        du plus sérieux de ces maux,  la grave maladie d'une grande opposition 
        au Dharma.  Ainsi,  Devadatta 
        avait commis trois des cinq forfaits,  et Rahula 
        avait observé l'intégralité des 250 Préceptes,  
        mais tous deux devinrent également bouddha. Au roi Myoshogon,  
        attaché à des conceptions erronées,  aussi bien qu'à 
        Shariputra dont la compréhension 
        était correcte,  il fut prédit en toute impartialité 
        qu'ils atteindraient la bodhéité. Car comme il est dit 
        dans le passage cité précédemment : "Il n'en 
        est pas un seul qui ne puisse atteindre la bodhéité." 
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