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Extraits de gosho sur

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cinquante-deux étapes (degrés) du développement des bodhisattvas
 

De même que l'océan est "trop profond pour qu'on puisse en toucher le fond", la sagesse du Sutra du Lotus "ne peut être comprise et partagée que par les bouddhas"(réf.) ; les bodhisattvas, même parvenus à l'étape de togaku, ne peuvent pas l'appréhender.
La même saveur salée (1261   ? )

Dans le sixième volume du Sutra du Nirvana, son dernier enseignement, prononcé dans le bosquet de shala, notre père compatissant, le vénérable Shakyamuni, déclara  : "Fiez-vous au Dharma et non à la personne." Même quand ce sont de grands bodhisattvas comme Fugen et Manjushri, , parvenus à l'étape de togaku qui précède l'Éveil parfait, qui exposent les enseignements bouddhiques, s'ils ne le font pas avec le texte du Sutra à la main, il ne faut pas tenir compte de ce qu'ils disent.
Conversation entre un sage et un ignorant (1265   ? à un samouraï   ? )

Ainsi la foi est l'élément fondamental pour entrer dans la voie du Bouddha. Parmi les cinquante-deux étapes de la pratique de bodhisattva, les dix premières, celles de la foi, sont essentielles et la première de ces dix étapes consiste à faire surgir une croyance pure. Si la foi d'une personne est pure, même si elle n'a aucune connaissance du bouddhisme ou ne possède que des capacités médiocres, elle doit être considérée comme une personne dont les vues sont correctes. Tandis que, même s'il a quelque connaissance du bouddhisme, celui qui n'a pas la foi est, en réalité, semblable à ceux qui offensent le Dharma et aux icchantika.
Le Daimoku du Sutra du Lotus (1266 à une femme d'Amatsu)

Les auditeurs-shravakas avaient atteint la première* des dix étapes de sécurité* et la première* des dix étapes de développement*, mais parce qu'ils suivaient les enseignements antérieurs au Sutra du Lotus et ne recherchaient que leurs propres perfectionnement et salut, ils ne pouvaient espérer atteindre la bodhéité, en manifestant les huit époques de l'existence d'un bouddha que dans quelque vie future.
Traité pour ouvrir les yeux (Sado, février 1272 à Shijo Kingo)

Comment une personne ayant reçu cette ordination pourrait-elle ne pas devenir, au cours de son existence présente, un bouddha de l'Éveil parfait  ? Et si vous êtes parvenu en cette vie au niveau de l'Éveil parfait [myogaku], quelle raison auriez-vous, dans votre vie prochaine, de régresser jusqu'à l'étape de togaku [précédant l'Éveil parfait] ou à d'autres étapes inférieures de la pratique  ? En tenant compte du lien qui nous unit depuis le passé illimité, et du principe qui veut que l'on renaisse, vie après vie, avec le même maître, si moi, Nichiren, j'atteins la bodhéité en cette vie-ci*, comment pourriez-vous vous séparer de moi et tomber dans les mauvaises voies de l'existence  ? Réponse à Sairen-bo (Sado, le 13 avril 1272, à Sairenbo Nichijo)

Les divers bodhisattvas, aussi nombreux que les grains obtenus en réduisant la terre en poussière, étaient parvenus jusqu'à l'étape de l'Éveil presque parfait (togaku). Il ne leur restait plus à éliminer que l'obscurité fondamentale. Ayant eu la bonne fortune de rencontrer le Bouddha Shakyamuni, ils pensaient pouvoir briser ce grand rocher qu'est l'obscurité fondamentale. Mais pendant les quarante et quelques premières années de son enseignement, Shakyamuni, Maître du Dharma, exposa la cause de l'Éveil, sans en exposer l'effet. Il ne révéla pas les bienfaits de l'étape de l'Éveil parfait (myogaku), par conséquent aucun d'eux ne put progresser jusque là. Ils le regrettèrent sans doute. Mais pendant les huit années où il enseigna au Pic du Vautour, le Bouddha exposa l'effet de l'Éveil, ce que l'on appelle le Véhicule unique du Bouddha. Il rendit ainsi possible à tous les bodhisattvas de parvenir à l'étape de l'Éveil myogaku, Éveil égal à celui du Bouddha Shakyamuni. Ce fut comme si, arrivés au sommet du Mont Sumeru, ils avaient pu voir dans les Quatre directions.
Sur la prière (Sado, 1272 à Sairen-bo)

A première vue, le Bouddha semble avoir prêché cet enseignement pour le salut des gens de son époque ; il planta dans leur vie la graine de la bodhéité dans le lointain passé de gohyaku jintengo* et le cultiva grâce à son enseignement en tant que seizième fils du bouddha Daitsu à l'époque de sanzen jintengo*, grâce aux enseignements des quatre premières périodes et à l'enseignement théorique* qu'il leur exposa de son vivant. Puis il conduisit finalement ses disciples à l'Éveil complet, de togaku à myokaku, grâce à l'enseignement essentiel*.
Le véritable objet de vénération (Sado, avril 1273 à Toki Jonin)

Et la méthode de propagation est aussi exactement la même à la fin de l'époque du Dharma formel du Bouddha Ionno et, maintenant, au commencement de l'époque des Derniers jours du Dharma. Le bodhisattva Fukyo était une personne de shozuiki et Nichiren est un simple mortel de myoji-soku*, qui sont toutes deux les premières étapes de la pratique.
Sur les prédictions du Bouddha (Sado, 11 mai 1273 aux croyants)

Ainsi Shakyamuni évoqua-t-il sa propre pratique dans une vie antérieure pour encourager et stimuler [le Pratiquant du Sutra du Lotus] au début de l'époque des Derniers jours du Dharma. [Par le passé], ce bodhisattva Fukyo, pour sa fidélité au Sutra du Lotus, reçut des coups de canne et de bâton et il parvint immédiatement à l'étape suprême de myogaku.
Réponse au seigneur Hakiri Saburo (Sado, 3 août 1273 à Hakiri Sanenaga)

Mais quand il enseigna le Sutra du Lotus, il rejeta les diverses plantes et fleurs qu'étaient les principes du Hinayana et les enseignements provisoires, les moyens opportuns des quatre saveurs et des trois enseignements, et il énonça le principe unique de Myoho Renge. En dépassant les trois images de lotus pour révéler le lotus unique de Myoho Renge, il permit, aux personnes des enseignements provisoires dotés des quatre saveurs et trois enseignements, de parvenir au lotus de la première* des dix étapes de sécurité*. Ce n'est que lorsqu'il exposa le lotus "dépassant le proche pour révéler le lointain" qu'il devint possible à ces personnes de parvenir au lotus le plus élevé, progressant de la deuxième étape de sécurité*, jusqu'à la troisième, la dixième, l'étape de l'Éveil presque parfait [togaku], et finalement jusqu'au niveau le plus élevé de tous, celui de l'Éveil parfait [myogaku].
[...] Tant qu'ils n'ont pas été instruits de l'enseignement essentiel*, les bodhisattvas ayant reçu les enseignements antérieurs au Sutra du Lotus, ou l'enseignement théorique*, doivent être considérés comme n'étant pas encore libérés des illusions. Mais une fois qu'ils ont reçu cet enseignement, on peut dire qu'ils ont accédé à la première* des dix étapes de sécurité* sur la voie de la pratique de bodhisattva.
L'ainsité du Dharma Merveilleux (Sado, 1273   ? à Sairen-bo)

Lorsque, pour déterminer quel est le sutra le plus élevé et le plus profond, vous comparez le Sutra du Lotus aux autres sutras, ou quand vous vous demandez quels sont ceux qui permettent d'atteindre la bodhéité, rappelez-vous que le Shakyamuni des enseignements antérieurs au Sutra du Lotus, et même des enseignements provisoires du Sutra du Lotus, est facile à vaincre ; les bodhisattvas parvenus à l'étape de togaku sont encore moins redoutables, et vous n'aurez guère à vous préoccuper des adeptes des enseignements provisoires.
Enseignement, pratique et preuve (Minobu, 1274   ? à Sammi-bo)

On désigne du nom de bodhisattva des personnes comme Manjushri et Maitreya. Ces grands bodhisattvas sont encore infiniment plus remarquables que les pratyekabuddhas. Un bouddha est un être totalement libéré des quarante-deux étapes de l'obscurité fondamentale, parvenu au niveau de l'Éveil parfait (myogaku) ; il est comparable à la pleine lune dans la nuit du quinzième jour du huitième mois. Les bodhisattvas ont dissipé quarante et une sortes d'illusions liées à l'obscurité fondamentale, parvenant ainsi au sommet de togaku, l'Éveil presque parfait, l'avant-dernière étape ; ils sont comparables à la lune qui brille dans la nuit du quatorzième jour du huitième mois.
Lettre à Horen (Minobu, avril 1275 à Soya Kyoshin)

Même les bodhisattvas, depuis ceux qui sont parvenus au dix étapes de la foi jusqu'aux grands bodhisattvas parvenus à l'étape de togaku ont du mal à évaluer des facteurs comme le temps et les capacités. Comment nous, simples mortels, pourrions-nous y arriver  ? Question : N'y a-t-il donc aucun moyen de le déterminer  ? Réponse : Il faut avoir l'oeil du Bouddha. Pour distinguer le temps et les capacités. Il faut que brille le soleil du Bouddha pour que le pays s'illumine.
[...] Le Grand-maître Fa-zang, de l'école Kegon, fait l'éloge de Zhiyi* en disant : "Huisi et Zhiyi* se sont intuitivement éveillés à la vérité et sont déjà parvenus à la première* des dix étapes de sécurité* dans la pratique des bodhisattvas. Ils se souviennent du Dharma telle qu'elle leur fut enseignée au Pic du Vautour et l'exposent de la même manière aujourd'hui."
Le choix en fonction du temps (Minobu, 10 juin 1275 ; adressé à Yui)

Les bodhisattvas du Hinayana percevaient le passé sur une période de trois asogi kalpa, alors que les bodhisattvas de l'enseignement commun (tsugyo) pratiquaient le bouddhisme pendant autant de kalpa qu'il y a de grains de poussière dans un monde, et les bodhisattvas de l'enseignement spécifique (bekkyo) connaissaient le passé dans chacune des cinquante deux étapes [qui mènent à l'Éveil ].
Un Sage Perçoit les Trois Phases de la Vie (Minobu, 1275, à Toki Jonin)

Bien que le Sutra du Lotus ait été enseigné par le seul Bouddha Shakyamuni, tous les bodhisattvas parvenus à l'étape de togaku ou aux étapes précédentes devraient le respecter et avoir foi en lui. Car le bouddha Taho vint de l'est et témoigna de la véracité de ce Sutra.
Traité sur la dette de reconnaissance (Minobu, le 21 juillet 1276, à Joken-bo et Gijo-bo)

Quand j'ouvre respectueusement le Sutra du Lotus et le lis attentivement, je vois que même les bodhisattvas Manjushri, Maitreya, Kannon et Fugen, pourtant parvenus à l'étape de togaku avaient bien du mal à mettre en pratique ne serait-ce qu'une phrase ou un seul vers de ce Sutra, parce que dans le texte même il est dit qu'il "ne peut être compris et partagé que par des bouddhas."
Lettre à Myomitsu Shonin (Minobu, le 5ème jour du 3ème mois intercalaire 1276 à Myomitsu)

Les deux grands sages Zhiyi* et Zhanlan* ont donné une définition de ces deux premiers niveaux dans la foi et dans la pratique et les ont interprétés de trois manières différentes. La première les assimile au stade de soji-soku, aux dix étapes de la foi et à l'étape d'un roi-faisant-tourner-la-roue-de-fer. La deuxième les fait correspondreà la première des cinq étapes de la pratique, considérées comme stade de kangyo-soku*, celle où l'on ne s'est pas encore détaché des illusions de la pensée et du désir. La troisième les considère comme équivalentes à l'étape de myoji-soku*.
[...] Pour ma part, je pense que de ces trois interprétations c'est celle qui fait correspondre ces deux premières étapes au stade de myoji-soku* qui s'accorde le mieux avec le texte même du Sutra du Lotus. Car en décrivant les cinq étapes de la pratique à l'intention de ceux qui vivraient après la disparition du Bouddha, le Sutra mentionne ceux qui [en entendant ce Sutra] "sans s'y opposer, sans le dénigrer, éprouvent au contraire un sentiment de joie."(réf.) Si l'on assimile l'étape décrite ici à un niveau aussi avancé que celui de soji-soku, ou à celui de la première des cinq étapes de la pratique les mots "sans s'y opposer, sans le dénigrer" ne sont guère appropriés.
"Ceux qui ont perdu l'esprit" aussi bien que "ceux qui n'ont pas perdu l'esprit" mentionnés dans le chapitre Juryo (XVI) correspondent tous au stade de myoji-soku*.
[...] L'absence de foi est la cause qui conduit à devenir un icchantika et à s'opposer au Dharma correct, tandis que la foi est la cause qui mène à la sagesse et correspond au stade de myoji-soku*. Zhiyi* fait ce commentaire : "Une personne parvenue au stade de soji-soku n'oubliera pas les bienfaits obtenus [quand elle renaîtra dans une autre existence]. Mais la plupart des personnes au stade de myoji-soku* ou de kangyo-soku*, à quelques exceptions près, oublieront ces bienfaits [dans leurs vies futures.] Toutefois, même les personnes qui ont oublié ces bienfaits, si elles rencontrent un bon ami bouddhique, verront refleurir les racines du bien plantées dans leurs vies antérieures Mais si elles rencontrent un mauvais ami, elles perdront leur véritable esprit de recherche."(réf.)
[...] Le seul mot "foi" est essentiel. L'absence de foi est la cause qui conduit à devenir un icchantika et à s'opposer au Dharma correct, tandis que la foi est la cause qui mène à la sagesse et correspond au stade de myoji-soku*.
Les Quatre Etapes de la foi (Minobu ; 10 avril 1277  ? à Toki Jonin)

Du chapitre Jo* (I) au chapitre Hosshi* (X) nombreux sont ceux qui apparaissent : les êtres humains, les divinités célestes, les Quatre sortes de croyants et les Huit sortes d'êtres non humains en dessous de l'étape de togaku, mais le seul Bouddha présent est Shakyamuni. Ainsi ces chapitres sont importants [plus importants que les enseignements précédant le Sutra du Lotus] mais peu importants [moins importants que les chapitres du Sutra du Lotus décrivant la Cérémonie dans les Airs].
Les Trois Obstacles et les Quatre Démons (Minobu, le 20 novembre 1277 à Hyoe no Sakan Munenaga)

Ceux qui ont entendu les titres des sutras Hannia harmitsu se sont éveillés aux trois principes de taiku*, de tanchu* et de futanchu*. Ceux qui ont entendu le titre du Sutra Kegon* se sont éveillés à tanchu* ou futanchu*. Ceux qui ont entendu les titres des sutras Vairocana, Hodo* et Hannya, ont compris le principe de shakku* ou de taiku*  ; le principe de tanku* ou celui de futanku*  ; les principes de tanchu* et de futanchu. Mais il n'est pas encore possible d'appréhender les principes de jikkai gogu, l'inclusion mutuelle des dix mondes-états, des cent mondes, des mille mondes ou des trois mille mondes qui conduisent au bienfait de myogaku, l'Éveil suprême.
"Ainsi ai-je entendu" (Minobu, 28 novembre 1277, à Soya Kyoshin)

Depuis le passé illimité, le bien et le mal sont inhérents à la vie. Selon les enseignements provisoires et les écoles fondées sur eux, le bien et le mal demeurent [dans la vie d'une personne] à travers toutes les étapes de la pratique de bodhisattva jusqu'à l'étape de togaku. Ainsi, tous ceux qui sont à l'étape de togaku [ou à une étape moins élevée] commettent encore des fautes [à la différence de ceux qui sont parvenus à l'étape la plus élevée]. Par contre, le principe central de l'école Hokke est celui d'ichinen sanzen qui révèle que le bien et le mal restent inhérents à la vie de tous, y compris de ceux qui sont parvenus à l'étape la plus élevée, celui de l'Éveil parfait sans supérieur [myogaku]. La nature fondamentale de la bodhéité se manifeste sous la forme de divinités bouddhiques telles que Bonten et Taishaku, l'obscurité fondamentale se manifeste sous la forme du Démon du sixième Ciel.
Le traitement de la maladie (Minobu, 26 juin 1278 (ou 1282) à Toki Jonin)

Depuis le passé illimité, le bien et le mal sont inhérents à la vie. Selon les enseignements provisoires et les écoles fondées sur eux, le bien et le mal demeurent [dans la vie d'une personne] à travers toutes les étapes de la pratique de bodhisattva jusqu'à l'étape de togaku. Ainsi, tous ceux qui sont à l'étape de togaku [ou à un stade moins élevé] commettent encore des fautes [à la différence de ceux qui sont parvenus au stade le plus élevé]. Par contre, le principe central de l'école Hokke est celui d'ichinen sanzen qui révèle que le bien et le mal restent inhérents à la vie de tous, y compris de ceux qui sont parvenus à l'étape la plus élevée, celle de l'Éveil parfait sans supérieur [myogaku].
Le traitement de la maladie (Minobu, 26 juin 1278 (ou 1282) à Toki Jonin)

Le Sutra du Lotus est sans égal, parmi tous les enseignements sacrés exposés par le Bouddha de son vivant. De plus, comme l'indiquent les mots  : "ne peut être compris que par des bouddhas"(réf.) seuls des bouddhas ont la capacité de le comprendre. Les bodhisattvas encore aux étapes de l'Éveil presque parfait (togaku) et au-dessous ne le peuvent pas. C'est pourquoi le bodhisattva Nagarjuna écrivit dans son Daichido Ron* que ceux qui ne sont pas bouddhas ne peuvent accéder à la bodhéité que par la foi.
Réponse à la mère du seigneur d'Ueno (Minobu, le 10e mois 1280 à la mère de Nanjo Tokimitsu)

On lit dans le Hokke shuku du Grand-maître Saicho*  : "Sachez que, parmi les sutras sur lesquels s'appuient les autres écoles, aucun ne contient le principe de l'atteinte de la bodhéité sans changer d'apparence. Même si certains d'entre eux semblent y faire vaguement allusion, cela ne concerne que des personnes parvenues à la huitième des dix étapes de développment (note) ou au-dessus. Ces sutras ne reconnaissent pas la possibilité d'atteindre la bodhéité sous la forme d'un simple mortel (bompu). Seule l'école Tendai-Hokke énonce clairement ce principe de l'atteinte de la bodhéité sans changer d'apparence."
Le principe de l'atteinte de la bodhéité sans changer d'apparence (Minobu, en 1280   ? , à Myoichinyo)

La forme que prend l'enseignement du Sutra du Lotus se modifie cependant en fonction des capacités des gens, du temps, du pays, et des personnes qui le propagent. Or même des bodhisattvas parvenus à l'étape de togaku semblent ignorer ce fait. Comment alors de simples mortels de l'époque des Derniers jours du Dharma pourraient-ils le comprendre !
Le corps et l'esprit des simples mortels (Minobu, à un disciple. Fraguement)

 

Voir également Éveil complet sans supérieur

 

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