Introduction
1.Suddhāṭṭhaka* n'est même pas mentionné dans de nombreux textes Thēravada. Je me suis demandé pendant un certain temps s'il n'était pas prématuré de traiter de ce sujet. Cet article nécessite une compréhension des concepts de base dont j'ai parlé depuis novembre 2015.
• Ne le lisez pas sauf si vous avez réfléchi aux concepts de base de «san»*, gati*, āsava*, Paṭicca samuppāda*,
etc. Cela n'aura pour vous beaucoup de sens et ainsi pourrait même vous décourager à chercher plus loin sous prétexte que, "ce truc n'a pas de sens."
• D'un autre côté, pour ceux qui ont une certaine compréhension de ces concepts, cela pourrait les aider à y voir plus clair.
• A mesure que je publie plus d'articles sur cette question, l'image devient de plus en plus nette. Soyez patients. La valeur du Dhamma deviendra également évidente, et c'est la meilleure façon de cultiver le saddha*.
• Ce sujet a été discuté en détail dans la sous-section «Nāma & Rūpa à Nāmarūpa» de la section «Living Dhamma»
2. Tout doit être soit sankata*, soit asankata.
• Un sankata a un début, se transforme de manière imprévisible au cours de son existence (viparinama) et finit par cesser d'exister; voir, par exemple, Root Cause of Anicca – Five Stages of a Sankata et Does any Object (Rupa) last only 17 Thought Moments?• Un asankata n'a pas de début, ne change pas au cours de son existence et n'a pas de point final. Un asankata dure pour toujours. Nibbāna est le seul dhamma asankata et n'appartient pas à «ce monde de 31 plans-royaumes».
• Il n'y a rien entre les deux. Réfléchissez bien à cette vérité.
• Tout dans ce monde est sankata*, c'est-à-dire a un début et une fin. Et cela a été confirmé par la science au cours des 100 dernières années. Einstein pensait que notre univers était dans un état stable, et si cela avait été prouvé, cela aurait pu contredire le Bouddha. Mais maintenant, il est prouvé que rien dans cet univers ne dure éternellement. Tout change, tout est un flux.
• On pense généralement que toute la matière de l'univers s'est créée il y a environ 14 milliards d'années, dans un «Big Bang». Le Dhamma a une explication différente. Cependant, il ne fait aucun doute que toute matière a une durée de vie limitée. Le Dhamma est correct dans son aspect fondamental.
Origine de la matière – Contexte
3. Si nous acceptons que toute matière a été créée d'une manière ou d'une autre, quelle est l'origine de la matière?
• Les scientifiques n'ont pas d'explication claire à ce sujet pour le moment (novembre 2015). Ils peuvent calculer l'évolution de l'univers à une fraction de seconde après le Big Bang, mais la physique est incapable d'expliquer ce qui s'est passé avant le Big Bang.
• Et, bien sûr, la «théorie du Big Bang» n'a pas encore été pleinement confirmée, même si la plupart des scientifiques y adhèrent. Pourtant, certains ne croient pas que tout a «surgi» d'un coup dans un Big Bang. Ils pensent que les univers sont cycliques, c'est-à-dire qu'ils se transforment et évoluent ; voir, par exemple, Endless Universe - Beyond the Big Bang, par P. J. Steinhardt et N. Turok (2007).
4. Le Dhamma, bien sûr, dit que tous les êtres vivants actuels ont toujours existé.
• En d'autres termes, « tous les flux de vie existants » sont depuis toujours. Dans chaque vie, un « flux de vie » donné reçoit un corps physique (grossier ou subtil selon le domaine de l'existence), et ce corps physique est, bien sûr, un sankata*. Lorsque ce corps physique meurt, le flux de vie s'empare d'un nouveau corps; voir : What Reincarnates? – Concept of a Lifestream.
• Ce qui « se propage » de vie en vie (tout en changeant continuellement), ce sont les āsava*, anusaya*
et gati
*
(les propriétés mentales) qui constituent un cycle de vie dynamique (en constante évolution).
• Ainsi, l'univers ne commence pas par un Big Bang, comme le croient actuellement de nombreux scientifiques. Rappelez-vous qu'il y a seulement une centaine d'années, les scientifiques pensaient que l'univers était dans un état stable. Les théories scientifiques changent pour correspondre aux données existantes. Mais le Dhamma pur n'a pas du tout changé depuis que le Bouddha Gotama l'a enseigné il y a 2500 ans; voir Historical Background.
5. Le Bouddha n’a pas encouragé les gens à étudier en détail les propriétés de l'univers. Cependant, il a enseigné qu’il existe d'innombrables systèmes planétaires comme notre système solaire. Cela a également été confirmé par la science.
• Dans tous les cas, quel que soit le modèle que la science adoptera finalement, il SERA cohérent avec le Dhamma. Ce modèle aura des êtres vivants quelque part dans les 31 plans-royaumes. Cela apparait en détail dans quelques suttā, en particulier l'Aggañña sutta. Mais ne vous donnez pas la peine de le rechercher sur Internet, car toutes les traductions actuelles sont contrariantes. J'ai rédigé un article d'introduction : Buddhism and Evolution – Aggañña Sutta (DN 27).
• Dans ce sutta, le Bouddha explique comment les conglomérats de systèmes planétaires explosent et se reforment en échelles de temps de «mahā kappā». Pour donner une idée de la longueur d'un mahā kappa il fait une comparaison qui revient à plusieurs milliards d'années ; voir The Grand Unified Theory of Dhamma. Et la destruction d'un système stellaire ressemble à ce que les scientifiques ont observé en tant que supernova*. Les supernovae sont fréquentes ; environ trois d'entre elles devraient se produire chaque siècle dans notre galaxie de la Voie lactée.
• Nous passerons pas mal de temps sur l'Aggañña sutta qui demande beaucoup de documentation de base. Je m'attends à ce que ce sujet nous prenne plusieurs années, et de nombreux essais. Une ébauche se trouve dans Manōpubbangamā Dhammā
Origine de la matière - L'esprit.
6. Pourtant, nous avons déjà suffisamment de documents de base sur notre site Web pour avoir une idée de la façon dont tous les sankata* de ce monde sont nés et meurent, au niveau fondamental.
• Ici, nous ne discuterons que de l'origine de la plus petite unité de matière, appelée « suddhāṭṭhaka* ». (parfois écrit suddhāshtaka).
• Cette unité de matière est un milliard de fois plus petite qu'un atome de la science moderne. Autrefois, il n'y a pas si longtemps, la science croyait qu'un atome était la plus petite unité de matière. Maintenant on parle de composites de nombreuses particules élémentaires. Même de nombreuses particules élémentaires sont structurées ! À l'heure actuelle, on ne voit plus la fin quant à la taille d'une unité de base de la matière. La science bute sur la distinction entre matière et énergie.
• Par exemple, un boson de Higgs n'est qu'un paquet d'énergie.
• La matière et l'énergie sont de même essence, liées par la fameuse équation E (énergie) = m (masse) x c2, où c est la vitesse de la lumière. Ainsi, une toute petite unité de matière est indiscernable d'un paquet d'énergie. Par exemple, la lumière que nous voyons vient en paquets appelés photons. Dans ce sens, le photon appartient à la matière, et donc tout dans ce monde au niveau primaire peut être étiqueté comme matière ou énergie.
• Au niveau fondamental la distinction entre matière et énergie est floue.
7. Un suddhāṭṭhaka* est un paquet d'énergie et c’est l'unité de base de la matière. Il est beaucoup plus petit en énergie par rapport à un photon lumineux que nous voyons. Un nombre énorme de suddhāṭṭhaka* aurait l'énergie d'un seul photon lumineux.
• Un suddhāṭṭhaka*, étant un sankata*, est créé par l'esprit. Cela peut surprendre beaucoup d’entre vous, mais au fur et à mesure que nous progressons, j’en fournirai la preuve. C'est pourquoi le Bouddha a dit: «manō pubbaṅgamā dhammā…», c'est-à-dire «tout a comme précurseur l’esprit …».
• Presque toute la matière autour de nous a été créée par ce processus mental il y a très longtemps. Telle est l'histoire que raconte l'Aggañña Sutta. Actuellement, c'est nous qui créons tout le temps des suddhāṭṭhaka* (via javana citta), mais en quantités infimes.
• Quiconque possède des pouvoirs abhiññā* supérieurs est censé être capable de créer une quantité importante de matière, comme une fleur ou même des entités plus grandes.
• La matière (au niveau de suddhāṭṭhaka* ) est créée par javana citta. Et quelqu'un avec des pouvoirs abhiññā*
peut maintenir une citta vithi*
avec javana citta coulant continuellement pour générer «des quantités significatives de matière». J'en ai brièvement discuté à la fin de l'article “Citta Vithi – Processing of Sense Inputs“.
8. Mais la plupart du temps, nous ne faisons maintenant que refaire différents types de sankata* en utilisant la matière première (suddhāṭṭhaka*) créée il y a des milliards d'années. Ces suddhāṭṭhaka* originaux ont des durées de vie de près de 20 anta kappa, où 80 de ces antakkappa sont dans un mahā kappa.
• Ainsi, au lieu d'avoir une vie qui dure 17 moments de réflexion, comme certains le croient à tort, un suddhāṭṭhaka* a une durée de vie très longue. Encore une fois, la physique moderne confirme que certaines particules élémentaires (par exemple, l'électron) ont des durées de vie très longues. Par conséquent, cette idée du «tout surgissant et cessant rapidement» est une idée fausse ; voir Does any Object (Rupa) Last only 17 Thought Moments?. Nous en discuterons plus en détail un peu plus tard.
• N'hésitez pas à poser des questions à ce stade. Il y a beaucoup d'information à digérer dans cet article. Certaines questions deviendront plus claires à mesure que nous avancerons.
Qu'est-ce que Suddhāṭṭhaka?
9. Suddhāṭṭhaka (suddha pour pur ou fondamental + āṭṭha ou « huit ») désigne une unité de matière constituée de huit entités fondamentales (généralement traduites par « pure octade »).
• Quatre d'entre elles sont les «satara mahā bhūta*
» : pathavi*, āpo*, tejo*, vāyo*
(note)
. Ce sont en effet les unités de matière les plus fondamentales, mais elles ne peuvent être détectées par elles-mêmes. Cela peut être difficile à croire à ce stade, mais les satara mahā bhūta* surviennent selon notre gati* dont j'ai parlé dans plusieurs articles ; voir, l’introduction de “The Law of Attraction, Habits, Character (Gati
*), and Cravings (Āsavas*)“. La suppression de āsava* et gati* conduit à Nibbāna : The Way to Nibbāna – Removal of Āsavā. Il faut avoir une bonne compréhension de ces concepts pour saisir le contenu de cet article.
• Les quatre mahā bhūta* sont d'abord créés par l'esprit avec quatre gati* de base des humains (thada gatiya en cinghalais) signifie la «grossièreté», correspondant à pathavi*
; un esprit souillé est dur et grossier et correspond à la nature pathavi*.
• Le mot āpo*
renvoie à la tendance à «s'attacher ou être attiré par les choses du monde» (bandena gatiya signifie «lier ensemble», ce qui correspond à la liquidité en sciences). Tejo*
vient de « fougueux ou énergique » (théjas gati en cinghalais), et vāyo*
se réfère au «mouvement» (salena gatiya en cinghalais). Ils sont tous créés en javana citta qui surgissent dans l'esprit, bien sûr, en quantités infimes qui ne peuvent pas être détectées. Cependant, ceux qui ont des pouvoirs abhiññā* peuvent générer de grandes quantités de matière comme une fleur.
10. Ces quatre grands éléments (satara mahā bhūta*
) sont censés être créées par l'esprit en raison de l'avijjā*
(l'ignorance). Nous aimons posséder ce qui provient de ces éléments parce que nous ne comprenons pas la « nature stérile » de telles entités impermanentes.
• Il en est question brièvement dans le Mahāhatthipadopama Sutta*
(MN 28) ». Traductions en plusieurs langues disponibles. Merci au Dr. Sein Myint de me l'avoir signalé.
• La soif de ces entités matérielles conduit à quatre autres gati* en raison de taṇhā*. En raison de notre tendance à penser fortement («varnanā karanava» en cinghalais), un autre gati* : « vaṇṇa*
» est créé comme différentes manifestations du satara mahā bhūta*. De même, trois autres entités appelées gandha*, rasa*
et oja*
sont créées en raison de taṇhā*. Elles correspondent à notre désir d'être en contact avec eux, de les garder proches (rassa) et de les régénérer. Cela prendrait trop de place pour les expliquer en détail, mais j'espère que vous en avez l'idée de base.
11. Par conséquent, quatre grands éléments pathavi*, āpo*, tejo*, vāyo* (terre, eau, feu, air) apparaissent en raison de l'avijjā*, et les quatre autres entitésvaṇṇa*, gandha*, rasa* et oja* surgissent en raison de taṇhā*. Les quatre derniers se produisent également en fonction de pathavi, āpo, tejo, vāyo (en fait, ce ne sont que différents modes de vibration depathavi*, āpo*, tejo*, vāyo*. Nous entrerons plus dans le détail plus tard afin que même les physiciens puissent apprécier la valeur de l'Abhidhamma.
• Ces huit entités ne surviennent jamais isolément et sont donc appelés « avinibbhoga* rupa*
». Ils surjissent toujours ensemble; tous les huit sont là dans n'importe quel suddhāṭṭhaka. Les « quantités » relatives de chaque composant peuvent varier, et ainsi, par exemple, certains suddhāṭṭhaka peuvent être dominés par un élément. Même alors, les huit sont présents dans une certaine mesure. Cela équivaut à dire que partout où il y a avijjā*, il y a taṇhā*, et vice versa.
• Ce niveau très fondamental est appelé le stade bhūta*. On appelleles fantômes bhūta en raison de leur nature insaisissable. Ils ne peuvent jamais être détectés et ne peuvent être «vus» que par un Bouddha. Le Bouddha a expliqué cela à Mahā Brahma, qui pensait tout savoir sur le monde : Brahmanimantanika Sutta*
(MN 49). J'expliquerai ce sutta en détail plus tard.
• Et un suddhāṭṭhaka* ne peut jamais être divisé ; ainsi ils sont appelés « avinibbhoga* rupa* kalapa.»
(note)
Rôle critique de Gati
12. Ainsi « gati* » conduit à « bhūta* », la première phase de rupa
* qui ne peut être vue que par Bouddha. C'est le stade suddhāṭṭhaka*. C'est là que l'énergie mentale est convertie en matière au stade très fondamental. Gardez cela à l'esprit pendant que nous avançons.
• Quand un nombre énorme de ces suddhāṭṭhaka* fusionnent, ils atteignent un état plus condensé de « mahā bhūta* ». Les corps subtils de brahmā et de certains gandhabbā sont faits de mahā bhūta*. Ce niveau de « solidification » peut être comparé (en énergie) à un rayonnement électromagnétique dans le domaine des grandes longueurs d'onde ; ainsi, nous ne pouvons pas « voir » ces entités avec nos yeux.
• Ce n'est que lorsque de grandes quantités de ces mahā bhūta* fusionnent pour devenir encore plus condensées, que nous pouvons les voir. Dans cet état hautement condensé, la matière est appelée « dhātu*
». Les corps des devas sont faits de dhātu* plus fins. C'est pourquoi nous ne pouvons pas voir les devas, mais Brahma peut les voir.
• Ainsi, nos corps sont constitués de dhātu* plus denses que nous pouvons voir. C'est pourquoi les objets solides sont appelés «pathavi* dhātu* » ; dans les suddhāṭṭhaka* de ces objets le solide prédomine.
• Dans les liquides, les choses sont liées et coulent ensemble parce qu'elles ont pour la plupart des āpo*-dhātu. Non seulement le feu, mais aussi les objets qui ont «l'apparence énergétique», ont plus de tejo*. Et non seulement le vent, mais aussi les choses qui ont tendance à bouger, ont plus de vāyo*.
• Details de gati* dans Gati, Bhava, et Jāti.
Autres implications
13. Par conséquent, nous pouvons voir que pathavi, āpo, tejo, vāyo ont des significations beaucoup plus profondes que simplement la terre, l'eau, le feu et le vent. Pourquoi les Grecs de l'Antiquité utilisaient-ils également les mêmes termes? Cela est comparable à l'hindouisme qui utilise également des termes comme karma (qui est le mot sanscrit pour kamma), Nirvana (qui est le mot sanscrit pour Nibbāna), anapana*
, etc.
• Il y a eu trois bouddhas dans ce mahā kappa (c'est-à-dire pendant l'existence de notre système solaire) avant le Bouddha Gotama ; c'est ainsi que ces termes sont venus à l'usage avant Bouddha Gotama. Ces concepts des bouddhas précédents ont été transmis à travers les générations successives, mais les vraies significations se sont perdues.
• L'histoire humaine est bien plus longue que des dizaines de milliers d'années, comme beaucoup le pensent aujourd'hui. Des continents entiers peuvent submerger, anéantir des populations entières; cela n'est pas encore envisagé sérieusement, mais il en existe des preuves: voir, https://en.wikipedia.org/wiki/Submerged_continent. Quoi qu'il en soit, c'est un sujet qui sera discuté plus tard lorsque plus de preuves seront disponibles. Il sera sans doute prouvé qu'une région qui n'a pas changé depuis la formation de la Terre est l'Asie englobant le Sri Lanka, l'Inde et la Chine. Les archéologues devraient se concentrer davantage sur cette région que sur l'Afrique. Voir: Ancient teeth found in China challenge modern human migration theory.” (Les dents anciennes découvertes en Chine défient la théorie moderne de la migration humaine.)
14. Comme je l'ai mentionné ci-dessus, il y avait trois bouddhas avant le Bouddha Gotama. C'est ainsi que certains des termes clés comme pathavi*, āpo*, tejo*, vāyo* et kamma, et Nibbāna ont été utilisés avant même le Bouddha Gotama. Ils avaient été transmis à travers les générations, mais bien sûr, leur vraie signification avait été perdue.
• La perte de la vraie signification du Tipiṭaka s'est produite au moins plusieurs fois, même pendant ce Bouddha sāsana*, au cours des 2500 dernières années. Le meilleur exemple est la mauvaise interprétation de san, saṃsāra, anicca et anatta au cours des centaines d'années passées; voir “What is “San”? Meaning of Sansara (or Samsara)” and “Anicca, Dukkha, Anatta – Wrong Interpretations.”
• Qu'est-ce que « san »? Signification de sansara (ou samsara) » et « anicca, dukkha, anatta ; mauvaises interprétations ».
• Mais le Bouddha Gotama a dit que son Bouddha sāsana* durera 5000 ans. Nous n'en sommes qu'à mi-chemin. C'est pourquoi il va revenir. Et cette fois, il restera puissant en raison de la présence d'Internet. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous devrions tous être éternellement reconnaissants à la science moderne, bien plus que pour toutes les autres merveilles technologiques qu’elle a engendrées.
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