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       Extraits de gosho sur  | 
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|   kobu  | 
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| Les dons que vous m'avez envoyés en ce lieu écarté 
          de montagne - les cent mandarines,  le kobu et le nori,  les algues ogo,  
          et autres denrées me sont bien parvenus. J'ai bien reçu 
          aussi le kimono doublé confectionné par Utsubusa no Ama. 
          J'ai lu avec la plus grande attention ce que vous disiez dans votre 
          lettre. Le Bouddha Shakyamuni déclare dans le Sutra 
          du Nirvana que quand bien même ceux qui étudient 
          le bouddhisme seraient plus nombreux que les grains de poussière 
          de la terre entière,  le nombre de ceux qui atteindraient la bodhéité n'excéderait pas la quantité de grains de poussière 
          qui peuvent tenir sur un ongle. En lisant cela,  je me suis demandé 
          pourquoi c'était d'une telle difficulté. Mais,  en y réfléchissant,  
          j'ai trouvé la réponse la plus plausible. Même lorsque 
          l'on étudie le bouddhisme,  il reste difficile de le pratiquer 
          correctement,  soit en raison de sa propre ignorance,  soit parce que,  
          même si l'on est sage soi-même,  on ne sait pas que les conceptions 
    du maître que l'on suit sont erronées. Lettre à Misawa (Minobu, le 23 février 1278 à Misawa)  | 
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