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Extraits de gosho sur |
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hiboku |
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Si l'herbe se dessèche, les
orchidées en souffrent ; si les sapins croissent, les chênes
en profitent. Même parmi les arbres et les plantes, on découvre
des liens aussi étroits. On appelle hiyoku un oiseau à deux têtes. Ses deux bouches nourrissent
un corps unique. On appelle hiboku un poisson qui n'a qu'un oeil, si bien que le mâle et la femelle
doivent rester ensemble toute leur vie. Mari et femme devraient être
comme eux. Lettre aux Frères (Minobu, 16 décembre 1275 aux frères Ikegami) |
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