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Jean-Soleil Kwadi Kayala est de nationalité congolaise, âgé de 30 ans, père de 2 enfants : une fille et un garçon, ingénieur électricien, j'ai un travail dans mon affaire privée. J'ai commencé à pratiquer le bouddhisme depuis le mois de mai 2009 jusqu'à présent - 7ans de pratique, après beaucoup de recherche sur le bouddhisme, le christianisme, l'islam, l'hindouisme et d'autre comme Eckankar, Rose-Croix, sukyo mahikari. Je suis née dans une famille de Témoins de Jéhovah dont 5 de mes fères le sont toujours. A 14 ans j'étais baptisé Proclamateur du royaume de Dieu et à 20 ans Assistant ministériel. J'ai commencé à perdre ma foi en Dieu lorsque j'ai remarqué notre environnement qui était devenu de plus en plus nocif, avec le système politique qui ne s'occupe de rien dans le pays, à part la bourgeoisie et leurs familles. Mon père, était agronome qui travaillait dans une société belge. Après les pillages de Mobutu, ils ont fermér leur société et sont retournés en Belgique. Et puis il est mort quelque années après. Nous sommes restés orphelins de père et de mère. Adolescents, nous devions nous prendre en charge, payer les frais de scolarité, se nourrir, se loger, se vêtir... c'était difficile de plus en plus. Mais je me suis demandé quel est ce Dieu qui promet le paradis sur la terre et qui ne peut même pas aléger la souffrance des ses ambassadeurs du royaume ? J'ai demandé encore comment un Dieu d'Amour peut-il punir tout un monde pour les pêchées d'un seul homme dans un quelconque jardin d'Eden, pendant des milliers d'années ? Réponse : c'est une fable, une légende de Romains pour faire peur aux gens et leur soutirer de l'argent. J'ai prié encore pendant que j'étais en train de perdre la vie ; toujours aucune réponse de la part de Dieu. C'est par là que j'ai commencé à faire mes recherches approfondies sur les religions, parce que tout ce dont je croyais n'a aucune preuve pour être une vérité. Pendant que j'ai commencé à pratiquer le bouddhisme de Nichiren, soudainement j'ai compris toutes les épreuves de la réalité, j'ai eu le courage d'affronter mes difficultés. Maintenant je me suis construit un soi imperturbable que même la mort ne me fait pas peur. Bien que je n'ai pas de fortune mais je suis très heureux d'être ce que je suis et j'ai confiance en moi de façon inébranlable. Comme le vœu du Bouddha est de sauver tout le monde, je vois que beaucoup des personnes embrasseront le chemin du Dharma d'ici 2030 dans le monde entier. Je vous remercie infiniment d'avoir lu en bref mon histoire et en particulier madame Isabelle, Hocine Touhami, Daniel, les autre membres, c'est une grande noblesse de madame Isabelle pour avoir mis le site web de la Nichiren étude accessible facilement, car sans cela j'aurais des difficultés une fois de plus. |