Arab Karim. l'étudiant kabyle que j'héberge dans la maisonnette. Il a vu mes zadankai et demande s'il peut y assister. Je lui demande de ne pas renier ses origines et il pratique regulièrement daimoku en même temps que ses cinq prières musulmanes. Au bout de deux ans, il se marie avec une algérienne et part à Saint-Dié. En 1917, de passage à Igny, il vient me rendre visite avec sa fille.